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Pour l’éditeur: Je ne pourrais pas être plus en désaccord avec l’argument de votre éditorial selon lequel la Cour suprême des États-Unis avait eu raison de maintenir l’ancien président Trump sur le bulletin de vote.
L’une des premières choses que l’on apprend à l’école de droit, c’est que si le sens d’une loi est clair à première vue, alors c’est ce qu’on choisit. L’article 3 du 14e amendement, qui interdit à ceux qui ont violé leur serment prêté à la Constitution d’exercer des fonctions, est on ne peut plus clair, surtout lorsqu’on le replace dans son contexte historique.
Pourtant, les constitutionnalistes de cafétéria de la Cour suprême des États-Unis ont fait appel de la décision de la Cour suprême du Colorado et ont abrogé ce sens clair. Les juges ont pris sur eux d’annuler le langage clair d’une disposition de la Constitution.
Oubliez le processus d’amendement constitutionnellement requis – ils s’en moquent. Ce sont les Suprêmes, qui s’efforcent assidûment d’atteindre un taux d’approbation nul, tout en entraînant avec eux la démocratie.
Quelle période embarrassante et déchirante pour être Américain.
Sara R. Nichols, Los Angeles
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Pour l’éditeur: Le comité de rédaction du Times salue la décision de la Cour suprême de maintenir l’ancien président sur les listes électorales du Colorado, affirmant que la décision « a pour principale conséquence de renforcer la démocratie ».
L’éditorial rappelle également qu’il a failli détruire la démocratie avec les événements du 6 janvier 2021.
Le Times passe à côté de l’essentiel de cette section « autrefois obscure » du 14e amendement. La manière de renforcer la démocratie est de ne pas permettre à ceux qui ont fait preuve de mépris à son égard d’exercer des fonctions publiques.
Bill Seibel, Glendora