Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Les avocats qui tentent de maintenir une mesure relative au droit à l’avortement hors du scrutin de Floride ont déclaré à la Cour suprême de l’État que l’amendement proposé était trompeur et que les électeurs ne se rendraient pas compte à quel point il élargirait l’accès à la procédure.
Mais les juges, lors d’une audience le 7 février, ont semblé penser que la question proposée lors du scrutin n’était pas tant un loup déguisé en mouton, mais plutôt un effort clair pour empêcher l’État de restreindre la plupart des avortements.
« C’est un loup qui arrive comme un loup », a déclaré le juge en chef Carlos Muniz, l’un des cinq membres nommés par le gouverneur républicain Ron DeSantis au sein du tribunal composé de sept membres. « Les habitants de Floride ne sont pas stupides. Ils peuvent le comprendre.
L’amendement proposé stipule qu’« aucune loi ne doit interdire, pénaliser, retarder ou restreindre l’avortement avant la viabilité ou lorsque cela est nécessaire pour protéger la santé de la patiente, comme déterminé par le prestataire de soins de santé de la patiente ». Il prévoit une exception, qui figure déjà dans la constitution de l’État : les parents doivent être informés avant que leurs enfants mineurs puissent avorter.
Avocats pour Atty. Le général Ashley Moody et le groupe de liberté religieuse Liberty Counsel ont déclaré aux juges qu’ils interdiraient essentiellement toute restriction, quelle qu’elle soit.
Les partisans de l’amendement proposé affirment que le langage du résumé du scrutin et l’amendement proposé sont concis et que Moody fait de la politique au lieu de laisser les électeurs décider s’ils doivent protéger l’accès à l’avortement.
Le groupe Floridians Protecting Freedom a recueilli près d’un million de signatures d’électeurs, bien plus que les 891 523 nécessaires pour voter. La Cour a clairement indiqué que son rôle n’est pas de se prononcer sur le contenu de l’amendement proposé, mais plutôt de savoir s’il est correctement axé sur un seul sujet et si les électeurs comprendront sur quoi ils votent.
Si la question est inscrite sur le bulletin de vote, il faudrait qu’elle soit approuvée par 60 % des électeurs.