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Dans un geste historique marquant la Journée internationale de la femme, la France a inscrit le droit à l’avortement dans sa constitution, consolidant ainsi sa position ferme en faveur des droits des femmes.
Le ministre de la Justice Eric Dupond-Moretti a utilisé une imprimerie du XIXe siècle pour imprimer l’amendement à la Constitution française lors d’un événement public notable organisé sur la place Vendôme pavée, comme l’a rapporté l’Associated Press.
Approbation législative et réponse mondiale
Suite au soutien massif des législateurs français plus tôt dans la semaine, l’amendement a été officiellement ratifié lors de la cérémonie, symbolisant une étape importante pour les droits des femmes.
Même si l’avortement reste une question controversée aux États-Unis, il jouit d’une légalité et d’un soutien généralisés dans une grande partie de l’Europe, notamment en France, où il est envisagé sous l’angle de la santé publique plutôt que sous l’angle du débat politique.
La cérémonie à Paris a servi de point central pour la célébration mondiale des droits des femmes à l’occasion de la Journée internationale de la femme, avec des marches, des manifestations et des conférences sur les continents, de Jakarta à Mexico.
Des défenseurs du monde entier ont salué l’amendement constitutionnel français comme un phare de progrès, en particulier dans les régions où l’accès aux soins de santé reproductive reste un défi.
Le président français Emmanuel Macron a attribué cette décision à une décision historique de la Cour suprême américaine en 2022, exhortant les autres pays à emboîter le pas.
Il a proposé d’intégrer le droit à l’avortement dans la Charte de l’Union européenne, suscitant des réactions enthousiastes de la part du public parisien. Cependant, une telle proposition pourrait se heurter à la résistance des membres de l’UE dotés de réglementations strictes sur l’avortement, comme la Pologne.
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Malgré cette victoire symbolique, Macron a été critiqué pour avoir donné la priorité au droit à l’avortement dans un pays où les menaces immédiates pesant sur ce droit sont moins apparentes que d’autres problèmes urgents auxquels les femmes sont confrontées.
Les défis persistants comprennent des taux élevés de violence domestique, des difficultés à poursuivre les cas d’abus sexuels, des écarts de rémunération entre les sexes et des disparités en matière de retraite, en particulier parmi les femmes non blanches.
(Avec la contribution des agences)