Customize this title in frenchLa France va juger 14 personnes dont six ENFANTS pour le meurtre de l’enseignant Samuel Paty trois ans après sa décapitation par un islamiste extrémiste

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words La France va juger 14 personnes dont six ENFANTS pour le meurtre de l’enseignant Samuel Paty trois ans après sa décapitation par un islamiste extrémisteSamuel Paty a été décapité en octobre 2020 par un extrémiste islamiste de 18 ansAbdullakh Anzorov a été abattu par la police sur les lieux du meurtre sanglantLes procureurs recommandent une inculpation de complicité de meurtre terroriste contre deux amisPar David Averre et Afp Publié : 14h59 BST, 7 avril 2023 | Mis à jour: 19h50 BST, 7 avril 2023 Les procureurs français cherchent à juger 14 personnes pour le meurtre et la décapitation d’un instituteur par un extrémiste islamiste en 2020, un crime qui a choqué la France, a déclaré aujourd’hui à l’AFP une source proche du dossier.Les chefs d’inculpation les plus graves – complicité d’assassinat terroriste – ont été retenus contre deux amis du réfugié tchétchène qui a assassiné Samuel Paty après qu’il ait montré des photos du prophète Mahomet à ses élèves lors d’un cours d’éthique.Le parquet national des crimes terroristes a également recommandé des poursuites contre six autres adultes – et six enfants – pour des infractions présumées liées au massacre de Paty dans la banlieue parisienne de Conflans-Sainte-Honorine.Le meurtrier, Abdullakh Anzorov, 18 ans, a été abattu par la police sur les lieux. Une photographie représentant le professeur d’histoire et de géographie français Samuel Paty est vue lors de sa cérémonie d’hommage à Eragny-sur-Oise, au nord-ouest de Paris Le terroriste qui a décapité un professeur de français près de Paris, Abdullakh Anzorov, 18 ans Des foules se sont rassemblées place de la Sorbonne pour assister à l’hommage national à l’enseignant assassiné Samuel Paty dirigé par le président français Emmanuel Macron le 21 octobre 2020 à ParisLes procureurs pensent que ses amis, nommés Azim E. et Naim B. dans l’enquête, ont accompagné Anzorov pour acheter un couteau et Naim. B a voyagé avec lui à l’école.Les magistrats instructeurs décideront en dernier ressort s’il convient d’inculper les suspects et de les renvoyer en jugement.M. Paty a été pris pour cible après la diffusion sur les réseaux sociaux de messages indiquant qu’il avait montré à sa classe des caricatures du prophète Mahomet du magazine satirique Charlie Hebdo.Le professeur d’histoire et de géographie de 47 ans avait utilisé le magazine dans le cadre d’un cours d’éthique pour discuter des lois sur la liberté d’expression dans la France laïque, qui ne criminalise pas le blasphème.Les procureurs ont également recommandé des accusations d’association avec des terroristes contre le père d’un élève de l’école de M. Paty, un prédicateur islamique radical, ainsi qu’un musulman converti en contact avec Anzorov via Twitter. Une adolescente a été emprisonnée en octobre pendant deux ans pour son rôle dans l’horrible décapitation du professeur de français Samuel Paty (photo) Beaucoup ont rendu hommage à l’enseignant tué en octobre 2020 après sa mort, avec la phrase « Je Suis Samuel » partagée par solidarité M. Paty est devenu un symbole de la lutte de la France pour maintenir ses valeurs laïques strictes, le président Emmanuel Macron le qualifiant de « héros tranquille » de la république.La nouvelle de l’enquête sur les complices présumés d’Anzorov survient quelques mois seulement après qu’une jeune musulmane de 17 ans a été emprisonnée pendant deux ans en octobre dernier pour son rôle dans le meurtre de M. Paty. La jeune fille, qui ne peut être nommée pour des raisons légales, a été condamnée pour « association de malfaiteurs terroristes » par le tribunal pour enfants de Paris.L’adolescente a relayé les demandes du terroriste au moment du meurtre et s’est avérée avoir des images d’Isis et des informations sur les armes sur son téléphone.Lors de la condamnation, elle a exprimé le souhait de se rendre en Turquie ou en Tchétchénie, les procureurs affirmant qu’elle montrait toujours des signes de radicalisation.Mais en garde à vue, la police a déclaré qu’elle avait fait des commentaires condamnant l’assassinat. Elle a été condamnée à une peine de trois ans et demi, dont 18 mois avec sursis. Partagez ou commentez cet article :

Source link -57