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- Selon une analyse, la baisse des niveaux de tabagisme et d’alcool chez la génération Z a affecté les finances publiques du Royaume-Uni.
- Bloomberg estime que le Royaume-Uni a perdu 11,4 milliards de dollars en taxes sur le tabac et 5,7 milliards de dollars en taxes sur l’alcool depuis 2002.
- Les « taxes sur le péché » rapportent des revenus aux gouvernements, mais l’alcool et le tabac causent également des problèmes de santé.
La génération Z évite de plus en plus l’alcool et le tabac – et cela a mis un trou de 17 milliards de dollars dans les finances publiques britanniques au cours des deux dernières décennies, selon une nouvelle analyse.
Les calculs de Bloomberg indiquent que le Royaume-Uni a manqué 9,3 milliards de livres sterling (11,4 milliards de dollars) de taxes sur le tabac et 4,7 milliards de livres sterling (5,7 milliards de dollars) de droits sur l’alcool, les revenus étant restés stables depuis 2002.
La consommation d’alcool est en baisse constante en Grande-Bretagne depuis qu’elle a culminé au milieu des années 2000, une tendance qui s’explique en partie par l’évolution des habitudes des jeunes générations.
Certains Gen Zers évitent les habitudes de consommation d’alcool et de tabagisme de leurs aînés, ce qui entraîne une baisse des ventes au Royaume-Uni et aux États-Unis. La tendance à la curiosité sobre s’est également accélérée chez les jeunes depuis 2018.
Les gouvernements ont tendance à mettre en place des taxes « péchées » sur les produits qui sont nocifs pour la société, comme l’alcool et le tabac. En plus de jouer un certain rôle dans la dissuasion de la consommation, c’est aussi une source essentielle de recettes fiscales.
Cette année, l’Office for Budget Responsibility (OBR) s’attend à ce que le gouvernement britannique perçoive 12,6 milliards de livres sterling (15,4 milliards de dollars) en taxes sur l’alcool et 10,7 milliards de livres sterling (13,1 milliards de dollars) en taxes sur le tabac.
La baisse des revenus de l’alcool et du tabac pourrait poser des maux de tête au chancelier Jeremy Hunt, qui tente de combler un déficit de 27,6 milliards de livres sterling (33,7 milliards de dollars) dans les finances publiques britanniques. L’équivalent du secrétaire au Trésor est également confronté à une baisse des revenus fiscaux provenant des taxes sur l’essence et le diesel à mesure que de plus en plus de véhicules électriques sont vendus.
Cependant, l’analyse ne tient pas compte de l’avantage potentiel de la baisse de la consommation d’alcool et de tabac en termes de demande réduite pour le système de santé publique du Royaume-Uni. On estime que les dommages liés à l’alcool coûtent au National Health Service (NHS) en Angleterre 3,5 milliards de livres sterling (4,3 milliards de dollars) par an.
Mais une étude de 2015 de l’Institute for Economic Affairs a suggéré que le gouvernement s’en sortait toujours mieux de la configuration actuelle, les buveurs subventionnant les non-buveurs à hauteur de 6,5 milliards de livres sterling (7,9 milliards de dollars).