Customize this title in frenchLa Guyane retarde jusqu’en 2025 son projet de production d’électricité de 1,9 milliard de dollars en raison de retards et de défis

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Les efforts du Guyana pour capitaliser sur sa générosité énergétique, un projet important visant à réduire les coûts de l’électricité grâce à une initiative de transformation du gaz en électricité, seront retardés jusqu’en 2025.

Le projet, évalué à 1,9 milliard de dollars, devait initialement démarrer cette année, mais a rencontré des retards dus à divers facteurs, notamment des retards dans les travaux, des livraisons tardives d’équipement et des problèmes avec les fondations du projet.

Winston Brassington, un consultant gouvernemental impliqué dans le projet, a révélé que la centrale électrique à cycle combiné ne sera pas pleinement opérationnelle avant le quatrième trimestre 2025.

Le projet, qui était un engagement fait aux habitants du Guyana de réduire les coûts énergétiques de 50 pour cent cette année, a connu des revers malgré les efforts pour obtenir un financement. La Guyane sollicite un prêt de 646 millions de dollars auprès de l’US Export-Import Bank pour financer les installations terrestres.

Pendant ce temps, ExxonMobil, qui construit actuellement un pipeline d’un milliard de dollars, sera remboursée par les recettes de la production offshore du pays. Le gazoduc devrait être achevé d’ici la fin de cette année, selon Alistair Routledge, chef pays d’Exxon Guyana.

Cependant, malgré ces retards, le gouvernement reste optimiste quant à l’avancement du projet. Il s’attend à ce que la centrale électrique commence à fournir 200 MW d’ici le 30 juin de l’année prochaine, avec l’achèvement du projet et la livraison de 300 MW en cycle combiné d’ici la fin de 2025.

Même si les défis persistent, le Guyana poursuit ses efforts pour exploiter ses ressources énergétiques au profit de sa population et de son économie.

Le différend de longue date d’Essequibo entre la Guyane et le Venezuela, qui dure depuis des décennies, a connu une avancée significative en décembre 2023 lorsque les deux pays sont parvenus à un accord pour résoudre le problème de manière pacifique.

La résolution marque une étape cruciale dans la région, en particulier compte tenu des riches gisements de pétrole et de gaz de la zone contestée. Cet accord souligne l’engagement des deux pays à éviter de recourir à la force et à rechercher plutôt des solutions diplomatiques aux différends territoriaux de longue date.

La découverte de pétrole brut dans la région d’Essequibo par ExxonMobil en 2015 a remodelé le paysage économique guyanais. Avant cette découverte, la Guyane dépendait principalement de l’agriculture et de l’exploitation minière pour sa subsistance économique.

Cependant, l’exploitation potentielle d’importantes réserves de pétrole et de gaz a rapidement transformé les perspectives économiques du pays. Le Guyana est depuis devenu l’une des économies à la croissance la plus rapide au monde, malgré les défis posés par la pandémie de COVID-19 et le ralentissement économique mondial.

Les taux de croissance exponentiels, avec un PIB en hausse de plus de 62,3 % en 2022, mettent en évidence l’impact transformateur des découvertes pétrolières sur l’économie guyanienne.

Les tensions politiques autour du conflit d’Essequibo ont persisté, certains attribuant l’escalade aux efforts du président vénézuélien Nicolas Maduro pour consolider le soutien intérieur.

Les actions de Maduro, notamment la tenue d’un référendum controversé sur l’annexion d’Essequibo, reflètent les complexités géopolitiques complexes liées aux intérêts économiques de la région.

Malgré le potentiel du Guyana pour devenir un acteur important sur le marché mondial de l’énergie et augmenter considérablement son PIB par habitant, des incertitudes planent sur son avenir économique.

La crainte d’une éventuelle invasion vénézuélienne, associée à une dynamique géopolitique plus large, suscite des inquiétudes quant à la capacité du Guyana à exploiter pleinement son potentiel économique tiré de sa richesse pétrolière.

(Avec les contributions de Reuters)

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