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- Une mère accusée du meurtre de son fils
- Elle a donné une raison pour laquelle elle ne voulait pas d’avocat
Une femme accusée conjointement avec son mari du meurtre de leur petit fils au nord-ouest de Brisbane déclare qu’elle ne fera pas appel à un avocat parce qu’elle fait confiance « au Seigneur » pour lui donner « les mots à dire ».
Des actes d’accusation de meurtre ont été présentés jeudi contre Noemi Kondacs et son mari Reinhardt Albert Bosch devant la Cour suprême de Brisbane.
Le couple est accusé du meurtre de leur petit fils Rhuan à leur domicile de Yugar le 3 novembre 2022.
Mme Kondacs, de Stuttgart en Allemagne, a refusé de demander une représentation juridique depuis sa première inculpation.
Reinhardt Albert Bosch et son épouse Noemi Kondacs sont tous deux accusés du meurtre de leur bébé Rhuan, retrouvé mort dans leur propriété de Yugar en novembre 2022.
Mme Kondacs a refusé de demander un avis juridique pour son accusation du meurtre de Rhuan (photo)
« Pour une accusation d’une telle gravité, il serait dans votre intérêt d’obtenir des conseils juridiques à un moment donné », a déclaré le juge de la Cour suprême Peter Callaghan à Mme Kondacs.
« Je suis intrigué… parce que pour une accusation aussi grave, je me demande pourquoi vous n’obtiendriez pas de conseils juridiques ? »
Lorsqu’on lui a demandé si elle souhaitait parler à quelqu’un de la représentation juridique, Mme Kondacs a refusé.
«Je fais simplement confiance au Seigneur pour me donner les mots à dire», a-t-elle déclaré au tribunal.
Le juge Callaghan l’a exhortée à prendre en compte certains conseils, même s’ils concernaient le fonctionnement du système juridique, afin de garantir que son meilleur intérêt puisse être respecté.
La police affirme que M. Bosch et Mme Kondacs ont prié sur le corps blessé de Rhuan le jour de son meurtre présumé avant d’appeler une ambulance.
Il est en outre allégué que Rhuan avait des blessures « visibles » et que la police était arrivée sur une scène de « confrontation ».
Mme Kondacs fait également face à une seule accusation de ne pas avoir assuré les nécessités de la vie.
M. Bosch fait face à des accusations de meurtre, de torture et d’agression ayant entraîné des lésions corporelles alors qu’il était armé d’un instrument offensif.
M. Bosch a été renvoyé devant la Cour suprême pour meurtre, torture et agression ayant entraîné des lésions corporelles alors qu’il était armé d’un instrument offensif en octobre de l’année dernière.
William Sun, agissant pour M. Bosch, a déclaré jeudi que son bureau gagnerait à présenter des observations sur l’accusation de torture de son client.
M. Bosch et Mme Kondacs n’ont pas encore plaidé en faveur des accusations.
Les deux affaires seront à nouveau évoquées devant le tribunal le 9 mai.
Les dates des procès de M. Bosch et de Mme Kondacs n’ont pas été fixées.