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Le premier ministre consultera un conseiller en éthique après que Suella Braverman a été accusée d’avoir recherché un traitement préférentiel pour gérer ses excès de vitesse.
La ministre britannique de l’Intérieur, Suella Braverman, a encore plus de problèmes politiques après avoir été soupçonnée d’avoir tenté d’obtenir un traitement préférentiel par rapport à une contravention pour excès de vitesse.
Selon le Sunday Times, qui a publié l’histoire, après avoir été condamnée à une amende pour excès de vitesse, la ministre a demandé à des conseillers de s’arranger pour qu’elle suive un cours privé de sensibilisation à la vitesse afin d’éviter de suivre le cours avec d’autres automobilistes.
L’affaire a rattrapé le Premier ministre Rishi Sunak lors du sommet du G7 au Japon. Interrogé par des journalistes, il a déclaré qu’il « ne connaît pas tous les détails de ce qui s’est passé.
« Je comprends qu’elle a exprimé ses regrets pour l’excès de vitesse, accepté l’amende et payé l’amende », a-t-il déclaré. Son porte-parole a déclaré que le ministre avait « bien sûr » la confiance du Premier ministre.
Un porte-parole du ministre a déclaré dimanche dans un communiqué à l’AFP: « Mme Braverman reconnaît qu’elle a fait un excès de vitesse l’été dernier et le regrette. Elle a choisi de perdre trois points sur son permis et a payé l’amende l’année dernière. »
Rishi Sunak consultera son conseiller en éthique à son retour du Japon pour déterminer si des règles ont été enfreintes.
Les partis d’opposition ont demandé une enquête. Les travaillistes affirment que la ministre a enfreint les règles du code ministériel, ce qui pourrait entraîner son départ du gouvernement.
S’adressant à la BBC, le chef du Parti travailliste, Sir Keir Starmer, a déclaré qu’il semblait qu' »une action inappropriée ait eu lieu » de la part du ministre de l’Intérieur qui « doit faire l’objet d’une enquête approfondie ».
« La conséquence habituelle d’enfreindre le code ministériel est que vous partirez », a-t-il ajouté.
Le ministère de l’Intérieur a refusé de commenter lorsqu’il a été contacté par Euronews lundi.
La nomination de Suella Braverman avait auparavant été critiquée par certains car elle avait dû démissionner du précédent gouvernement pour avoir envoyé abusivement un document officiel depuis une adresse e-mail personnelle.