Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words La ministre française Marlène Schiappa a témoigné mercredi lors d’une enquête du Sénat sur des allégations selon lesquelles un fonds de lutte contre l’extrémisme religieux qu’elle gérait aurait acheminé des fonds publics vers des personnes proches d’elle. En tant que ministre français chargé des associations, Schiappa, a créé le Fonds Marianne en réponse au meurtre en 2020 de Samuel Paty – un enseignant décapité devant son école en banlieue parisienne par un L’extrémiste musulman qui était en colère contre Paty avait montré des caricatures du prophète Mahomet dans un cours sur la liberté d’expression. Le fonds a initialement reçu une cagnotte d’argent public d’une valeur 2,5 millions d’euros pour soutenir associations visant à contrer islamiste l’extrémisme en ligne. Mais des allégations de détournement de fonds ont jeté une ombre sur Schiappa – une personnalité éminente du gouvernement du président Emmanuel Macron – et ont déclenché une enquête au Sénat et une enquête des procureurs financiers. Pendant plus de trois heures d’interrogation devant le Sénat sur Mercredi, la ministre a déclaré qu’elle assumerait la « responsabilité » de son rôle dans le scandale, même si elle a nié tout acte répréhensible et a cherché à rejeter la faute sur son administration. Accusations de détournement de fonds Schiappa, alors vice-ministre des droits civiques, a créé le Fonds Marianne en avril 2021, six mois après l’assassinat de Paty, dans le but de créer un « compteur récit » à l’extrémisme en ligne. Deux ans plus tard, avec Schiappa devenu ministre, plusieurs médias français ont commencé à soulever des questions sur la manière dont les paiements du fonds étaient attribués et utilisés. Les enquêtes du magazine d’information Marianne et de France 2 retrouvées que le plus gros paiement était allé à une organisationle Union des sociétés d’éducation physique et de préparation militaire (USEPPM), qui a reçu 355 000 €. L’argent est allé vers un site Web unique et une collection de vidéos anti-extrémistes, de publications sur les réseaux sociaux et d’articles qui n’ont trouvé presque aucun public en ligne. De plus, 120 000 € ont servi à payer deux ex-dirigeants de l’association. Le site d’investigation de Mediapart a révélé en mai que le fonds avait versé juste au-dessus €2 millions à 17 associations différentes. Parmi ceux-ci, une organisation (appelée Reconstruire le commun, qui a reçu un versement de 330 000 €) a ensuite publié des vidéos attaquant les opposants au président Emmanuel Macron lors des élections de 2022. L’ancien directeur de cabinet de Schiappa, Sébastien Jallet, a révélé le 7 juin que le ministre était intervenu pour exclure l’association SOS Racisme, qui avait été agréée par le comité de sélection et avait demandé un financement de 100 000 €. Schiappa a rejeté les accusations des politiciens de l’opposition selon lesquelles elle aurait dirigé les fonds vers des personnes avec lesquelles elle avait des relations personnelles. « Je dément ce qui a été dit, notamment par certains LFI [La France Insoumise] Des députés, qui disaient que j’avais donné de l’argent à mes amis, et qu’il y avait du copinage ou du favoritisme.Enquêtes judiciaires, administratives et sénatoriales Schiappa a été défendu par la Première ministre Elisabeth Borne dans une interview dimanche. « Elle est très engagée … quelqu’un avec beaucoup de personnalité qui veut contribuer », a déclaré Borne à la télévision France 3, niant que Schiappa pourrait être remplacé lors d’un remaniement gouvernemental très attendu. Ainsi que le Sénat enquête, une série de séparé des enquêtes ont visé à découvrir si Schiappa est intervenu dans le processus de sélection des bénéficiaires du fonds. Deux actions en justice ont été intentées par la maire de Paris Anne Hidalgo, membre du Parti socialiste, et Mathilde Panot, cheffe de cabinet des ministres le parti de gauche La France Insoumise. Le Parquet National Financier a ouvert unenquête pour savoir si des fonds publics ont été détournés ou s’il existe des preuves négligence financière, abus de confiance ou poursuite illégale de intérêts commerciaux par un agent public. Le courant minsister pour civic rights, Sonia Backès, a apporté un cas avec l’intérieur agence d’inspection du ministère (l’inspection générale de l’administration, ou IGA), les enquêtes devant se terminer fin juin. « Défauts, irrégularités » Une initiale rapport de l’IGA, publié le 6 juin, n’a trouvé aucun acte répréhensible de la part de Schiappa. Selon ceux interrogé, il a déclaré: «le sous-ministre a été retiré du processus dès que [the fund] a été officiellement lancé ». Au lieu de cela, il a critiqué le rôle d’un comité du ministère de l’Intérieur qui supervisait le Marianne Fund (La Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation), mettant en lumière de nombreux « manquements » et « irrégularités » de l’association tant dans le processus d’appel d’offres que dans l’utilisation des fonds. Le chef du comitéChristian Gravel, a démissionné après que le rapport l’ait accusé de faire preuve de « favoritisme » envers l’USEPPM. Les enquêteurs français ont mené mardi des perquisitions aux domiciles de Gavel et de l’ex-journaliste Mohamed Sifaoui, l’un des deux co-chefs de l’organisation, qui « ont doublé leurs salaires » après avoir remporté la bourse, selon le rapport. Plusieurs témoins cités par l’enquête du Sénat ont indiqué que Sifaoui a visité le intérieur bureau du ministère à plusieurs reprises avant le lancement du fonds. Sifaoui comparaîtra devant le Sénat pour un interrogatoire jeudi. ‘Fausses accusations’ Reste à savoir si Schiappa sortira indemne du scandale. Le député français insoumis Aurélien Saintoul a appelé le ministre à démissionner lors d’une réunion parlementaire mardi, à laquelle Schiappa n’a pas assisté. Au cours de l’enquête du Sénat, une sténographe judiciaire a été entendue pour qualifier ses prétentions d' »extraordinaires ». « A aucun moment jusqu’à présent vous n’avez interrogé ou discuté de votre propre responsabilité », a déclaré le président du Sénat Claude Raynal à Schiappa lors de l’audience. « Vous dites que c’est votre administration[’s fault]; Non, madame. Quand l’administration prend une position, c’est censé être la position du ministre.Schiappa a a qualifié les accusations portées contre elle de « calomnie ». Dans un Tweet du 27 avril, elle a déclaré que son avocat «poursuivrait des poursuites en diffamation contre tous ceux qui porteraient de fausses accusations de favoritisme”. Je n’ai aucun ami parmi les lauréats du Fonds Marianne. Pas un. Aucun. Et je peux le transmettre. Mon avocate poursuivra pour diffamation tous ceux qui m’impute à tort une action de favoritisme. #CaVous pic.twitter.com/PRUOOadyXW— ?? MarleneSchiappa (@MarleneSchiappa) 27 avril 2023 «Aucun des bénéficiaires du Fonds Marianne n’est mes amis, mes proches, de qui que ce soit. Ils l’ont nié eux-mêmes », a-t-elle déclaré dans une vidéo jointe. Schiappa a expressément nié avoir une amitié avec Sifaoui lors de son audition au Sénat.Dans un tweet précédent, elle a déclaré qu’elle « n’avait pas validé le contenu » des vidéos réalisées par Reconstruire le commun ni demandé à l’organisation de cibler les opposants politiques. Le scandale actuel n’est pas la première fois que Schiappa fait la une des journaux. La ministre, qui est également une auteure féministe, a suscité la controverse en avril pour son apparition dans une séance photo habillée pour Playboy, que les critiques ont critiquée comme une tentative de détourner l’attention des allégations de détournement de fonds. (Avec AFP)
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