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L’agence des migrations de l’ONU a déclaré mardi 26 mars que la noyade était la principale cause de décès de migrants au cours des dix dernières années, faisant plus de 36 000 morts. Parmi les quelque 64 000 décès de migrants recensés au cours de cette période, près de 60 pour cent étaient dus à des noyades, comme le révèle un rapport de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).
Méditerranée : un passage dangereux
Une part importante de ces incidents tragiques se sont produits en Méditerranée, où plus de 27 000 personnes ont perdu la vie. Cette route maritime est empruntée par les migrants qui tentent de voyager de l’Afrique du Nord vers le sud de l’Europe. L’OIM a souligné les dangers extrêmes associés à cette région et la nature dangereuse de tels voyages.
L’OIM a averti que les chiffres présentés dans le rapport sous-estiment probablement l’ampleur réelle des décès de migrants, car une grande partie des données restent incomplètes. Malgré les efforts visant à surveiller plus intensivement la Méditerranée, il est difficile d’obtenir des données fiables, en particulier dans des régions comme le désert du Sahara, où la surveillance est difficile.
Les deux tiers des décès et disparitions enregistrés restent non identifiés, et plus de la moitié manquent d’informations sur le sexe ou l’âge du migrant. Pour les cas où l’origine a pu être déterminée, il a été observé que plus d’un tiers provenaient de zones de conflit ou de régions abritant d’importantes populations de réfugiés.
Statistiques 2023 et 2024
L’année 2023 a marqué la période la plus meurtrière depuis que l’OIM a commencé à collecter des données, avec plus de 8 500 décès enregistrés sur les routes migratoires dans le monde.
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La tendance s’est poursuivie jusqu’en 2024, l’organisation notant que les chiffres actuels sont tout aussi alarmants. Malgré une légère baisse des arrivées via la route méditerranéenne par rapport à l’année précédente, le nombre de décès reste malheureusement élevé.
(Avec la contribution des agences)