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Le site Web sur invitation uniquement, auquel environ 70 000 personnes avaient accès, offrait des identifiants de connexion, un historique de navigation, des données de formulaire de remplissage automatique et d’autres données sensibles extraites d’appareils piratés.
Le nombre de victimes australiennes du site Web – appelé Genesis Market – est toujours en cours de calcul, mais 36 000 appareils australiens compromis ont été trouvés disponibles à la vente sur le site, a indiqué la police fédérale australienne (AFP).
« C’est désormais la nouvelle normalité pour nos communautés, les cyber-impacts ayant des impacts réels sur les personnes dans leurs maisons. C’est le cambriolage moderne », a déclaré le commissaire adjoint à l’AFP Scott Lee.
Lee a déclaré que les pirates utilisaient des logiciels malveillants pour cibler les ordinateurs et autres appareils des utilisateurs.
« Qu’il s’agisse de votre téléphone, de votre ordinateur portable, de votre tablette, (le logiciel malveillant) extrait ensuite l’historique de votre navigateur, tous les cookies que vous pouvez avoir sur votre appareil, tous les mots de passe qui pourraient être liés à vos comptes bancaires, vos comptes de médias sociaux, ce genre de choses, » dit Lee.
« Une fois ceux-ci extraits, ils sont mis sur le marché pour la vente.
« Les gens peuvent acheter et chercher à utiliser ces informations d’identification pour compromettre des personnes et accéder à leurs comptes bancaires, ou à d’autres services qu’ils peuvent ensuite utiliser à des fins frauduleuses. »
Lee a déclaré qu’il n’y avait aucun lien entre Genesis Market et les récents incidents de piratage de données à grande échelle en Australie impliquant des sociétés telles qu’Optus, Medibank et Latitude.
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Au moment où il a été mis hors ligne, Genesis Market offrait l’accès à plus de 1,5 million d’ordinateurs compromis, chacun contenant des informations pour des dizaines de comptes, y compris des identifiants pour des entreprises telles que Netflix et Amazon.
Selon le FBI, l’un des administrateurs du site Web aurait opéré depuis la Russie, tandis qu’un autre se trouvait en Asie.
Un homme de l’époque victorienne, qui, selon la police, est l’acheteur le plus prolifique d’informations compromises en Australie, faisait partie des dix personnes arrêtées par l’AFP et des détectives d’État locaux.
L’homme de Box Hill, 31 ans, est accusé d’avoir dépensé plus de 56 500 dollars australiens pour acheter des informations sur le site Web.