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Quelque 4 000 manifestants, selon les organisateurs, et 3 000, selon la police, se sont rendus aux manifestations près du village de Saint Rémy-de-Maurienne dans le sud-est de la France au mépris d’une interdiction officielle de rassemblement
La police française a utilisé des gaz lacrymogènes samedi alors qu’elle affrontait des manifestants cherchant à arrêter la construction d’une nouvelle ligne de train à grande vitesse entre la France et l’Italie voisine qui, selon les opposants, détruirait l’environnement sensible des Alpes.
Quelque 4 000 manifestants, selon les organisateurs, et 3 000, selon la police, se sont rendus au rassemblement près du village de Saint Rémy-de-Maurienne, dans le sud-est de la France, au mépris de l’interdiction officielle du rassemblement, a déclaré un correspondant de l’AFP.
La police a ensuite utilisé des gaz lacrymogènes lorsqu’une faction de manifestants a commencé à lancer des projectiles sur les forces de sécurité.
Les manifestants ont également pris d’assaut la ligne de chemin de fer voisine, rapporte l’AFP, bien que la circulation ferroviaire ait été interrompue en raison de la situation en début d’après-midi, selon l’opérateur SNCF.
Soutenue par l’Union européenne, la nouvelle ligne reliera Lyon et Turin, avec 70% de voies en France et 30% en Italie, et un tunnel de 57,5 km traversant les Alpes entre Saint-Jean-de-Maurienne et Suse. Le coût estimé du projet est de plus de 26 milliards d’euros.
Les partisans affirment que cela facilitera considérablement le trafic routier de marchandises, mais les opposants affirment que les dommages écologiques risquent d’être dévastateurs et que les sources commencent déjà à se tarir en raison de la construction.