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La police israélienne a pris d’assaut la mosquée Al-Aqsa dans la vieille ville de Jérusalem pour la deuxième nuit consécutive mercredi après que des fidèles palestiniens se sont barricadés à l’intérieur.
Le Croissant-Rouge palestinien a signalé qu’au moins six personnes avaient été blessées à la mosquée. Les autorités islamiques du Waqf, qui gèrent le complexe, ont déclaré que la police avait tiré des grenades assourdissantes et des balles en caoutchouc pour disperser la foule.
Les Palestiniens s’étaient rassemblés dans la mosquée, répondant aux appels du Waqf pour prier à l’intérieur pendant la nuit.
À l’une des entrées de la mosquée, on pouvait voir des policiers escorter des dizaines de Palestiniens hors de l’enceinte. Les résidents et les acheteurs se sont déplacés, regardant des vidéos de médias sociaux sur leurs téléphones montrant les nouveaux affrontements qui s’étaient produits à quelques mètres de là.
La police israélienne avait précédemment pris d’assaut la mosquée Al-Aqsa plus tôt mercredi, tirant des grenades assourdissantes sur des Palestiniens qui lançaient des pierres et des pétards dans une explosion de violence pendant une période de vacances sensible.
Une vidéo largement diffusée sur les réseaux sociaux montre des policiers en train de matraquer des personnes au sol à l’intérieur du bâtiment.
Les médecins du Croissant-Rouge palestinien ont déclaré qu’au moins 50 personnes avaient été blessées. La police israélienne a déclaré qu’elle n’était pas en mesure de confirmer dans l’immédiat les informations et les vidéos montrant des officiers frappant des Palestiniens, mais 350 personnes ont été arrêtées.
Des roquettes ont ensuite été tirées vers le sud d’Israël, provoquant des frappes aériennes israéliennes répétées.
La violence survient alors que les musulmans ont marqué le mois sacré du Ramadan et que les Juifs ont commencé la semaine de vacances de la Pâque
Condamnation internationale
Mercredi soir, le porte-parole du président palestinien Mahmoud Abbas, Nabil Abu Roudeina, a déclaré que la nouvelle « attaque » israélienne contre la mosquée Al-Aqsa soulignait la volonté du gouvernement israélien « de plonger la région dans l’instabilité ».
Le chef de l’ONU, Antonio Guterres, s’est dit « choqué et consterné » par « la violence et les passages à tabac » des forces de sécurité israéliennes, selon son porte-parole Stéphane Dujarric.
La Maison Blanche s’est dite « extrêmement préoccupée », appelant « toutes les parties à éviter une nouvelle escalade ».
Auparavant, la Jordanie, qui administre les lieux saints musulmans de Jérusalem, avait exprimé son inquiétude face à « des attaques continues qui pourraient conduire à une escalade ».
« Piétiner la mosquée Al-Aqsa est notre ligne rouge », a déclaré le président turc Recep Tayyip Erdogan. La Ligue arabe a mis en garde contre les « provocations » qui blessent « les sentiments des croyants ».
La région a connu une nouvelle flambée de violence depuis l’investiture fin décembre de l’un des gouvernements les plus à droite de l’histoire d’Israël. Près de 110 personnes sont mortes depuis le début de l’année, dont environ 90 Palestiniens.
En mai 2021, la violence sur l’Esplanade et ailleurs à Jérusalem-Est a conduit à une guerre de 11 jours.