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Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui a reçu un diagnostic de hernie, a clairement indiqué, dimanche 31 mars, que la pression exercée par les États-Unis n’était pas la raison pour laquelle l’opération Rafah n’avait pas encore commencé. Il a également réfuté les affirmations selon lesquelles le Ramadan serait la raison pour laquelle Israël n’est pas entré dans la ville de Rafah. Il a dit qu’il n’y avait aucune « hésitation » à propos de l’opération. « Cela ne prendra pas beaucoup de temps. Rien ne nous arrêtera, pas la pression américaine », a-t-il déclaré.
Il convient de noter que le président américain Joe Biden a averti plus tôt Israël que son offensive dans la ville de Rafah, dans le sud de Gaza, constituait une « ligne rouge ». Cependant, Biden a immédiatement minimisé ses remarques à l’époque et a déclaré : « c’est une ligne rouge mais je ne quitterai jamais Israël ».
Ces propos ont suscité des spéculations sur une détérioration des relations entre les dirigeants.
La tension entre les États-Unis et Israël était également visible lorsque le Premier ministre israélien a été interrogé sur l’annulation de la délégation à Washington. Netanyahu a déclaré : « Je leur ai dit : « Ne le faites pas. Cela enverra un message extrêmement grave au Hamas : il n’est pas obligé de libérer un seul otage et il peut obtenir un cessez-le-feu.»
Cela s’est produit après que les États-Unis ont autorisé l’adoption de la résolution de l’ONU sur le cessez-le-feu à Gaza. « Nous trouverons le moyen de dialoguer sur cette question. Mais il me paraissait important d’adresser ce jour-là ce message à l’ensemble de la communauté internationale, mais également au Hamas. Et c’est un message important que je soutiens », a déclaré Netanyahu.
Netanyahu a tenu dimanche une conférence de presse au cours de laquelle il a déclaré que le cabinet de guerre avait approuvé des « plans opérationnels » pour Rafah. Bibi a également affirmé que les forces de défense israéliennes sont toutes prêtes à opérer à Rafah dans le but d’évacuer les civils ainsi que de soutenir la distribution de l’aide humanitaire.
Netanyahu, lors de la conférence de presse avant son opération chirurgicale prévue à 21 heures, heure locale, a déclaré que lors de ses entretiens avec le président américain Joe Biden, il avait remercié la solidarité, « mais je n’ai pas apprécié la décision du Conseil de sécurité. J’ai trouvé que c’était une décision déplorable, car pour la première fois elle déconnectait le cessez-le-feu… et la libération des otages. C’est pourquoi j’ai pensé qu’il fallait envoyer un message clair sur cette question.»
Netanyahu dit avoir dit à Biden que « s’il le faut, nous nous battrons avec nos ongles ».
(Avec la contribution des agences)