Customize this title in frenchLa révolution de l’Appstore d’Apple suscite des critiques

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Apple reagiert auf den « Digital Markets Act » (DMA) der EU und öffnet iOS mit Version 17.4 pour les magasins tiers. Dans le même temps, le groupe iPhone lie cette étape à de nouvelles conditions générales, qui prévoient une commission différente pour les applications particulièrement populaires, telles que[–>COMPUTER BILD berichtete. Dans un document de recherche, un expert en droit de la concurrence de l’Université néerlandaise de Tilburg critique désormais clairement les actions des Californiens et accuse Apple de ridiculiser la Commission européenne.

Experte kritisiert Gebühren

Der britischen Tech-Plattform Silicon Selon Geradin, il reproche à Apple de ne pas être sérieusement intéressé par la mise en œuvre du DMA. Il est particulièrement agacé par la procédure d’ouverture du système d’exploitation de l’iPhone pour ce qu’on appelle le sideloading. Au lieu d’ouvrir le système pour installer des applications de n’importe quelle source, comme c’est le cas avec les ordinateurs Windows ou MacOS, Apple limite les sources d’approvisionnement aux magasins tiers autorisés, invoquant des problèmes de sécurité. Apple justifie ainsi une série de nouvelles procédures et exigences de contrôle pour les magasins non Apple et les applications qui y sont proposées. Cependant, selon Geradin, le groupe cherche simplement à saper son obligation d’ouvrir le système en vertu de l’article 6, paragraphe 4, du DMA. De plus, Apple rend peu attrayante l’utilisation de magasins tiers grâce à de nouveaux frais, explique Geradin.

Reagiert die EU?

Gemeint ist damit unter anderem die neue Core-Technology-Gebühr: Entwicklern von Apps, die im Jahr mehr als eine Million Installationen verzeichnen, will Apple eine Provisionsgebühr in Höhe von 50 Cent für jede weitere Installation berechnen. Das könnte es Entwicklern besonders beliebter Apps unmöglich machen, Gratis-Apps weiterhin kostenfrei anzubieten. Der Clou: Akzeptieren müssen Entwickler die neuen Geschäftsbedingungen und die damit verbundene Core-Technology-Gebühr nur, wenn sie ihre Apps auch über Drittanbieter-Stores vertreiben oder alternative Zahlungsmethoden verwenden möchten. Bieten sie sie hingegen weiterhin lediglich über Apples App Store und Apples Bezahlsystem an, bleibt es auf Wunsch bei den bisherigen Bedingungen. Geradins Einschätzung nach kommt Apple den EU-Vorgaben durch den DMA somit faktisch nicht nach. Aus diesem Grund glaubt er, die EU habe keine andere Wahl, als letztlich rechtlich auf Apples geplante Anpassung des iPhone-Betriebssystems zu reagieren und Nachbesserung zu fordern.

Schritt in die falsche Richtung

Microsoft schließt sich der Kritik an der geplanten Apple-Revolution ebenfalls an. Auf X (ehemals Twitter) bezeichnet La présidente de Xbox, Sarah Bond, a qualifié les actions d’Apple de « pas dans la mauvaise direction ». Elle espère qu’Apple écoutera les commentaires et améliorera en conséquence la mise en œuvre des exigences DMA. Microsoft souhaite lancer sa propre boutique d’applications pour iOS. Spotify a récemment critiqué encore plus clairement le fait que la distribution de son application dans les nouvelles conditions n’était pas réalisable, même pour le géant du streaming, en raison des frais supplémentaires. Apple, quant à lui, rétorque que Spotify n’est pas obligé d’effectuer des paiements à Apple dans les conditions actuelles et qu’il peut le rester à la demande du fournisseur de streaming. Ce n’est que si Spotify nécessite l’accès aux nouvelles fonctions de l’ouverture iOS que les nouvelles conditions générales s’appliqueront. De plus, selon les termes et conditions existants, Spotify peut continuer à créer un lien direct vers sa propre page d’accueil via son application afin de permettre aux utilisateurs de créer et de gérer leurs comptes sans payer de commission.

In seiner Ankündigung vom 25. Januar 2024 gibt Apple derweil an, dass die meisten Entwickler nach eigener Einschätzung von den neuen Geschäftsbedingungen profitieren würden. Denn gleichzeitig senkt der Konzern damit fällige Provisionszahlungen für kostenpflichtige Apps. Setzt ein Programm im Jahr weniger als eine Million Dollar um, fällt künftig eine Provision von 10 statt bisher 15 Prozent an. Bei über eine Million US-Dollar Umsatz sinkt die Provision von 30 auf 17 Prozent. Zusätzlich führt Apple eine Gebühr für Kaufabrechnungen in Höhe von 3 Prozent ein. Für 99 Prozent der Entwickler hätten diese Veränderungen geringere oder höchstens gleich bleibende Gebühren zur Folge, behauptet Apple. Die Core-Technology-Gebühr betreffe hingegen nur etwa ein Prozent der Entwickler.



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