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La Roumanie et la Bulgarie rejoindront la zone Schengen sans passeport de l’UE pour les voyages aériens et maritimes en mars 2024, tandis que l’ouverture des frontières terrestres sera discutée l’année prochaine, a annoncé mercredi le Premier ministre roumain Marcel Ciolacu.
« Nous avons un accord politique à ce sujet ! » » Ciolacu a déclaré dans un message sur les réseaux sociaux. « À partir du mois de mars de l’année prochaine, les Roumains bénéficieront des avantages de l’espace Schengen par voie aérienne et maritime. »
Ciolacu a également exprimé son optimisme quant à un futur accord sur les frontières terrestres, se disant « convaincu » que ces négociations aboutiraient en 2024.
L’Autriche s’était auparavant opposée à l’inclusion de la Roumanie et de la Bulgarie dans la zone Schengen en raison de préoccupations concernant l’immigration clandestine. Cependant, à la mi-décembre, le ministre autrichien de l’Intérieur, Gerhard Karner, a annoncé un assouplissement de la position de Vienne, proposant des voyages en avion sans passeport depuis ces pays en échange de mesures de sécurité aux frontières plus strictes.
Les autorités roumaines, autrichiennes et bulgares sont finalement parvenues le 23 décembre à un accord politique sur l’entrée partielle dans la zone Schengen, a indiqué mercredi le ministère roumain de l’Intérieur dans un communiqué. L’application des règles de Schengen à la frontière terrestre de la Roumanie serait « en lien étroit avec les mesures compensatoires concernant le renforcement du contrôle aux frontières et l’application de l’accord de Dublin », a indiqué le ministère.
Les critiques avaient précédemment déclaré que l’opposition de Vienne à l’inclusion de la Roumanie et de la Bulgarie dans la zone Schengen était alimentée par des préoccupations de politique intérieure concernant l’immigration, et ont averti que cela affaiblirait l’UE et alimenterait le scepticisme à l’égard du bloc en Europe de l’Est.
Le gouvernement de coalition autrichien dirigé par les conservateurs est sous pression pour adopter une position plus dure sur l’immigration dans un contexte de forte hausse de popularité du Parti de la liberté d’extrême droite dans les sondages.