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- Le gouvernement russe recherche un porte-parole de Meta.
- Les accusations sont inconnues, mais l’employé était recherché depuis février.
- Un tribunal russe a ordonné l’arrestation du porte-parole par contumace.
Un porte-parole de Meta est recherché depuis février par la base de données du ministère russe de l’Intérieur, ont appris dimanche les médias basés en Russie.
Selon Mediazona, un média russe non affilié à l’État, Andy Stone est recherché par le ministère pour des accusations de terrorisme non précisées. L’agence de presse officielle russe TASS a également rapporté que Stone était « recherché en vertu d’un article du Code pénal russe ».
Stone est directeur des communications de Meta et travaille dans la société de médias sociaux depuis 2014, selon LinkedIn.
Le média a également rapporté que Stone avait été arrêté par contumace par un tribunal russe à la mi-novembre. Les détails de son cas n’ont pas été divulgués, selon le média. La base de données des personnes recherchées ne donne également aucun détail sur son cas.
Les accusations portées contre Stone constituent un autre élément de la répression russe contre le géant des médias sociaux. Avant la guerre en Ukraine, les produits Meta comme Facebook et Instagram étaient populaires auprès des utilisateurs russes. Cependant, les sites sont désormais interdits en Russie et Meta elle-même est répertoriée comme organisation « terroriste » et « extrémiste » depuis octobre 2022.
WhatsApp, également propriété de Meta, est toujours opérationnel dans le pays, a rapporté Mediazona.
La Russie a également ouvert un affaire contre Meta en mars 2022, affirmant que l’entreprise encourageait les « activités terroristes » après avoir modifié ses règles en matière de discours de haine pour Utilisateurs ukrainiens et polonais.
Mediazona a rapporté qu’à l’époque, le ministère russe avait mentionné Stone dans un communiqué de presse parce qu’il avait annoncé la décision de Meta d’autoriser les utilisateurs à publier des articles sur la « mort des envahisseurs russes ».
À l’époque, Stone avait annoncé que les appels seraient traités comme un discours politique plutôt que comme de véritables menaces.
Meta n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire de Business Insider.