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Des délégations d’Iran, de Turquie et de Syrie doivent se réunir mardi à Moscou dans le cadre d’un effort visant à rétablir les relations entre Ankara et Damas.
La Turquie et la Syrie ont rompu leurs relations en 2011 à la suite de la répression du gouvernement syrien contre les manifestants alors que le pays était plongé dans la guerre civile.
Pendant le conflit, qui couve toujours dans la province d’Idlib, tenue par les rebelles du nord-ouest, la Syrie a accusé la Turquie de fournir un refuge sûr aux groupes extrémistes.
Le ministre turc de la Défense, Hulusi Akar, a annoncé que les pourparlers se poursuivraient mardi.
La Turquie a occupé de grandes parties du nord de la Syrie, avec des milices alliées, affirmant qu’il est nécessaire de contrer les groupes kurdes soutenus par les États-Unis qu’Ankara accuse de terrorisme.
Les pourparlers à Moscou impliqueront également l’Iran, a déclaré M. Akar.
Les chefs de la défense et du renseignement des quatre pays participeront à la réunion.
La Russie cherche à rétablir les liens entre son allié Damas et Ankara.
« Notre objectif est de résoudre les problèmes par des négociations et de ramener la paix dans la région dès que possible », a déclaré M. Akar.
La Turquie et la Syrie ont peu de contacts officiels depuis que la Turquie a commencé à soutenir les groupes rebelles contre le président syrien Bashar Al Assad.
Mais le président turc Recep Tayyip Erdogan est ouvert à des pourparlers avec le dirigeant syrien.
Le président russe Vladimir Poutine a soutenu les efforts de M. Erdogan.
Mais M. Al Assad, dont le pays vise à mettre fin à son isolement régional, a déclaré qu’il ne rencontrerait M. Erdogan que si la Turquie retirait ses troupes du nord de la Syrie.
Ce mois-ci, des diplomates iraniens, russes, turcs et syriens se sont réunis à Moscou pour ouvrir la voie à une réunion de leurs ministres des Affaires étrangères.
Avant le conflit de 2011, la Syrie était l’un des principaux partenaires commerciaux de la Turquie au Moyen-Orient, avec un commerce bilatéral en 2010 d’une valeur d’environ 2,5 milliards de dollars.
Le commerce a augmenté ces dernières années, mais reste largement entre la Turquie et les zones de la Syrie sous contrôle rebelle.
Mis à jour : 24 avril 2023, 10 h 16