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Le nouveau gouvernement de droite du Parti de la coalition nationale, du Parti finlandais, du Parti populaire suédois et des Chrétiens-démocrates a annoncé, après sept semaines de négociations, son programme de 250 pages, dont sept pages sont spécifiquement consacrées à l’avenir du pays politique de l’UE.
La future politique européenne de la Finlande semble être un compromis difficile entre le parti le plus pro-UE du pays, le Parti de la coalition nationale (NCP), et le parti le plus critique, le parti nationaliste finlandais. Cependant, ce dernier semble avoir eu un léger avantage.
Le gouvernement du Premier ministre Petteri Orpo (NCP) qualifie l’UE de « cadre de référence politique et économique le plus important et de communauté de valeurs » qui doit adopter une approche globale plus forte.
Il comprend également un aperçu des « lignes rouges » potentielles et une position claire selon laquelle « la Finlande veut que l’UE joue gros sur les gros problèmes et petit sur les petits problèmes ».
Selon le gouvernement, la Finlande est prête à plaider en faveur d’investissements supplémentaires de l’UE là où elle les considère importants, mais ils devraient rester « principalement dans le cadre du budget ». Dans le même temps, « les intérêts nationaux du pays doivent être identifiés et sauvegardés ».
Concernant les finances publiques, l’UE « doit passer d’une politique de relance qui alourdit le poids de la dette à une politique de croissance durable ».
La Finlande plaidera également pour le retour au principe de non-renflouement, où chaque État membre est responsable de ses propres dettes. En outre, le financement du budget de l’UE doit être lié au respect de l’État de droit, et l’UE ne doit pas se transformer en « une union asymétrique de transfert de revenus ».
L’instrument de valorisation utilisé doit être considéré comme une « solution ponctuelle exceptionnelle », et non comme un précédent. « La Finlande n’acceptera pas de répéter un arrangement similaire ou de le rendre permanent », déclare le gouvernement.
Un financement supplémentaire ou des instruments de financement entièrement nouveaux au niveau de l’UE ne seront pas soutenus par la Finlande « dans la situation actuelle ».
Les fonds européens existants devraient être prioritaires et réaffectés en premier. Concernant le futur Fonds européen de souveraineté, le gouvernement affirme que son besoin sera évalué « par rapport à la politique d’aides d’État de l’UE et à la direction dans laquelle la future proposition de la Commission orienterait l’utilisation du fonds ».
Même si le gouvernement affirme vouloir renforcer la capacité décisionnelle de l’UE, il considère que le recours au vote à la majorité qualifiée n’est possible que dans « des domaines limités de la politique étrangère et de sécurité ».
Sur la base de ces alignements, il n’est pas difficile de prédire que les questions européennes seront une épine dans le pied des nouveaux gouvernements.
(Pekka Vantinen | EURACTIV.com)