Customize this title in frenchL’agence européenne des frontières examinera les événements qui ont conduit au naufrage de migrants grecs

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words

L’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes établira un rapport sur le bateau chaviré transportant des migrants au large des côtes grecques, ce qui a entraîné la mort de centaines de personnes dans l’un des pires naufrages d’Europe en une décennie.

L’agence, connue sous le nom de Frontex, a lancé jeudi un « rapport d’incident grave » (SIR), exigeant que les responsables des droits fondamentaux de l’agence enregistrent les violations potentielles des droits de l’homme, a déclaré un porte-parole de l’agence à POLITICO.

Bien que le processus ne soit pas une enquête – Frontex n’a pas la capacité d’enquêter sur les incidents – le rapport permet à l’agence de rassembler tous les détails disponibles concernant l’incident mortel. Le rapport peut ensuite être partagé avec des organes d’enquête ou faire partie de recommandations à d’autres organes, tels que le Parlement européen.

Selon les agences des Nations Unies pour les réfugiés et les migrations, le HCR et l’OIM, entre 400 et 750 migrants se trouvaient à bord du bateau de pêche surpeuplé qui se dirigeait vers l’Italie depuis l’est de la Libye.

Près de 80 corps ont été retrouvés, 104 autres ont été secourus et des centaines de personnes seraient portées disparues. Au Pakistan, les autorités ont déclaré que plus de 300 de ses ressortissants sont morts dans la tragédie, mais n’ont pas précisé comment elles ont reçu l’information.

Des survivants et des ONG ont accusé les autorités grecques d’avoir joué un rôle dans les décès, affirmant que les garde-côtes helléniques sont arrivés trop tard au bateau et ont peut-être alors contribué à son chavirement. Athènes a lancé sa propre enquête sur les décès et a nié tout acte répréhensible.

La Commission européenne a balayé les pressions des organisations internationales pour lancer une enquête indépendante sur la conduite des autorités grecques.

Mais, s’exprimant le lendemain de la catastrophe, la commissaire aux affaires intérieures, Ylva Johansson, a déclaré à POLITICO : « Ils n’ont pas été envoyés dans l’UE, ils ont été envoyés à la mort ».

Après la tragédie, selon un fonctionnaire, qui travaille sur la migration et a obtenu l’anonymat pour parler librement, a affirmé le rapport Frontex est potentiellement l’une des seules chances d’une évaluation indépendante. On ne sait pas s’il faudra des semaines ou des mois pour présenter les conclusions de l’agence.

Les dirigeants de l’UE discuteront à nouveau de la migration lors d’une réunion la semaine prochaine.



Source link -57