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Le groupe d’États de « l’alliance nucléaire » rencontrera la Commission européenne en marge de la réunion informelle des ministres de l’énergie de l’UE, mardi 11 juillet, afin d’obtenir des garanties sur l’inclusion de l’énergie nucléaire dans la transition énergétique de l’UE.
Lisez l’histoire française originale ici.
En février, la ministre française de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, a lancé une alliance avec plusieurs États membres pro-nucléaires de l’UE.
La première réunion officielle de l’alliance à Paris, le 16 mai, a réuni 15 représentants des États membres de l’UE, le commissaire européen à l’énergie Kadri Simson et des représentants du Royaume-Uni.
Les membres de l’alliance – moins le Royaume-Uni – rencontreront à nouveau Simson en marge de la réunion informelle des ministres de l’énergie de l’UE sous la présidence espagnole de l’UE à Valladolid mardi 11 juillet..
L’alliance devrait présenter une déclaration commune à la Commission européenne dans laquelle elle lui demandera « d’inclure l’énergie nucléaire dans tous les textes pertinents en cours de préparation » sur la transition énergétique de l’UE, selon le bureau de Pannier-Runacher, bien que le bureau n’ait pas préciser les textes concernés.
Lors de la réunion de la mi-mai à Paris, les membres de l’alliance avaient déjà signé une déclaration commune exhortant la Commission à promouvoir l’inclusion de l’énergie nucléaire « dans la stratégie énergétique de l’UE ».
Selon eux, l’UE pourrait avoir plus de 150 gigawatts (GW) d’énergie nucléaire sur son territoire d’ici 2050.
La France s’est ensuite battue pour obtenir une déclaration de la Commission dans le cadre des négociations sur la directive sur les énergies renouvelables, reconnaissant formellement le rôle des « autres sources d’énergie non fossiles » pour atteindre la « neutralité climatique d’ici 2050 ».
Début juillet, le bureau de Pannier-Runacher a déclaré à EURACTIV France que ces mots reconnaissaient clairement la contribution de l’énergie nucléaire aux objectifs climatiques de l’UE.
Le nombre de participants à la réunion de mardi n’est pas encore garanti en raison de problèmes de logistique et de transport, a déclaré le bureau de Pannier-Runacher à EURACTIV France.
Le cabinet du ministre n’a pas précisé si le groupe dit « favorable aux énergies renouvelables », que l’Autriche a mis en place pour contrebalancer « l’alliance nucléaire », se réunirait également mardi.
Bien que n’étant pas d’accord sur le nucléaire, la France a rejoint le groupe, invoquant son haut niveau d’énergie renouvelable, et promet de « participer à toutes les réunions », a ajouté le ministère.
[Edited by Frédéric Simon/Nathalie Weatherald]