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Ina Krisnamurthi, ambassadrice d’Indonésie en Inde, a exprimé sa confiance dans la capacité de l’Inde à orienter le G20 vers des résultats plus concrets. S’adressant au correspondant diplomatique principal de WION, Sidhant Sibbal, elle a déclaré qu’elle avait « l’espoir que l’Inde sera capable et capable de manœuvrer la dynamique mondiale et d’obtenir des livrables plus concrets… ».
L’Indonésie était l’ancien président du méga groupement économique et a cédé la présidence lors du sommet du G20 de l’année dernière à Bali.
L’ambassadeur a également salué les efforts de l’Inde pour accueillir un large éventail d’invités et a félicité le pays pour ses efforts jusqu’à présent. L’Inde a déjà accueilli les réunions des ministres des finances et des affaires étrangères du G20 et accueillera le sommet du G20 en septembre. C’est la première fois que l’Inde préside le G20 depuis que le groupe a commencé à se réunir au sommet à la suite de la crise financière de 2008.
WION : Comment voyez-vous la présidence du groupement G20 ?
Ambassadeur Krisnamurthi : Je pense, avant tout, que je voudrais féliciter et féliciter l’Inde jusqu’à présent. Accueillir une telle variété d’invités venant en Inde n’est pas facile. Donc, d’un point de vue logistique, c’est un succès incroyable pour l’Inde d’accueillir des réunions aussi vastes. Deuxièmement, quoi qu’il arrive dans les salles de réunion, je pense que le G20 reste un forum économique de premier plan pour que tout le monde puisse en faire une voie de dialogue et de discussion. Car s’il n’y a pas de G20, peut-être que l’espace de discussion ou de dialogue sera réduit.
Regarder | L’envoyée indonésienne Ina H Krisnamurthi parle à WION de la présidence indienne du G20
WION : Lorsque l’Indonésie était à la présidence du groupement l’an dernier, la crise géopolitique, le conflit avait une ombre sur elle. Cette fois-ci également, nous en sommes témoins, surtout après l’absence de déclarations conjointes après la réunion des ministres des Affaires étrangères et des Finances. Comment voyez-vous le clivage entre les 18 pays et les deux pays, qui ne sont bien sûr pas très favorables à la présence des paras de Bali dans la déclaration commune désormais ?
Ambassadeur Krisnamurthi : Oui, je pense que nous n’avons pas besoin de nous concentrer autant sur le pessimisme des réunions passées au cours des quatre mois, car nous devons considérer le G20 ou tout engagement diplomatique comme un processus. Ce n’est pas un processus ponctuel. Nous devons donc voir ce qui va se passer jusqu’au sommet et nous espérons tellement que l’Inde sera capable et capable de manœuvrer ces dynamiques mondiales vers des livrables plus concrets.
WION : Comment l’Indonésie a-t-elle comblé le fossé entre la Russie et l’Ukraine durant sa présidence du G 20 ?
Ambassadeur Krisnamurthi : Nous comblons la division en laissant la place au dialogue et à la délibération et je pense que c’est ce que l’Inde a fait jusqu’à présent, pour donner de la place à la délibération, ce qui signifie que de nombreuses salles bilatérales sont là, sur le plan logistique, mais du temps est également accordé à ceux qui veulent échanger des vues en dehors du format G20. Je pense donc qu’il y a une marge d’optimisme, une marge d’espoir pour réaliser quelque chose de concret au sein du G20 indien.
WION : L’Inde accueillera de nombreuses réunions, notamment au Jammu-et-Cachemire. Participerez-vous à la réunion au Jammu-et-Cachemire ?
Ambassadeur Krisnamurthi : Pour l’Indonésie, eh bien, l’ambassadeur est un représentant de la capitale. Nous sommes mandatés par la capitale. Mais pour les réunions du Jammu Cachemire, nous n’avons reçu aucune instruction. Nous allons donc attendre que l’instruction soit là.
WION : Et enfin, ma question porte sur l’aspect bilatéral de la relation. Comment évoluent les relations bilatérales ? Nous avons vu beaucoup d’idées dont la connectivité entre Ache et Andaman, comment voyez-vous cela ?
Ambassadeur Krisnamurthi : Ainsi, les engagements bilatéraux sont, je pense, en augmentation. L’année dernière, nous avons eu plus de cinq réunions au niveau des ministres. Cette année déjà en avril, nous avons eu trois ministres. Donc, je pense que nous sommes sur la bonne voie, en avant en termes d’amélioration de nos relations politiquement et économiquement.
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