Customize this title in frenchLancement du projet pilote de portefeuille numérique de l’UE à Paris

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Le consortium POTENTIAL dirigé par la France et l’Allemagne a commencé à travailler sur un projet pilote à grande échelle pour créer un portefeuille européen d’identité numérique, avec un déploiement excepté d’ici 2025, a-t-on annoncé lors de l’événement de lancement à Paris lundi 10 juillet.

Lire l’article original en français ici.

Le cadre européen d’identité numérique est un projet de loi de l’UE visant à fournir le cadre juridique permettant de rendre les portefeuilles numériques nationaux interopérables dans toute l’UE, où les citoyens peuvent stocker des documents officiels tels que les permis de conduire et les actes de naissance.

Alors que le règlement approche de la ligne d’arrivée, le travail technique pour donner vie au portefeuille numérique européen a déjà commencé.

Des représentants des coprésidents de France et d’Allemagne ont assisté à l’événement, ainsi que les ministres français et allemand du numérique, Jean-Noël Barrot et Markus Richter.

Les travaux de POTENTIEL seront coordonnés par l’ANTS, l’agence nationale de gestion des documents officiels en France, qui était représentée par Florent Tournois. Sur le plan technique, il est coordonné par Moritz Heuberger pour le compte du ministère allemand de l’Intérieur.

Avec EWC, DC4EU et NOBID, POTENTIAL est l’un des quatre consortiums européens lancés par la Commission pour mener à bien des « projets à grande échelle [that] testera les spécifications techniques […] pour le portefeuille d’identité numérique de l’UE », indique le site Internet de la Commission.

Au total, un peu plus de 90 millions d’euros ont été alloués à divers projets de portefeuille numérique, dont la moitié est financée par le budget de l’UE, tandis que tous les États membres de l’UE, ainsi que la Norvège, l’Islande et l’Ukraine, participent à un ou plusieurs consortiums.

Tournois a expliqué à EURACTIV que chacun de ces consortiums « se concentre sur différents cas d’utilisation ».

Le consortium POTENTIEL

POTENTIEL adresse des cas d’usages « citoyens », notamment l’accès aux services publics numériques, l’ouverture d’un compte bancaire en ligne, la création d’une ligne téléphonique à partir de cartes SIM, la dématérialisation du permis de conduire, la signature électronique, la prescription médicale numérique.

Lundi, Barrot a décrit la stratégie de POTENTIAL comme « inclusive et étape par étape ». L’objectif est que, d’ici la fin de 2025, tous ses cas d’utilisation soient prêts à être déployés et utilisés par les citoyens, les entreprises et les organisations de l’UE.

Le consortium de 144 membres rassemble des organisations publiques et privées de 20 pays, dont l’Ukraine et 19 États membres de l’UE.

Anne-Gaëlle Baudouin, directrice de l’ANTS et du programme France Identité numérique, a fait part à EURACTIV de quelques cas d’usage pour lesquels la France ferait des propositions, car elle a déjà développé des projets similaires.

En termes d’accès aux services gouvernementaux, Baudouin a rappelé l’existence de FranceIdentité – un outil qui permet aux personnes de prouver leur identité en ligne et qui permettra aux électeurs « de demander une procuration de vote de manière entièrement numérique » dès l’UE élections de 2024.

Tournois, de son côté, a également pointé « la feuille de route [for] la dématérialisation des permis de conduire est prévue » pour début 2024, plaçant la France à la pointe dans ce domaine.

Prochaines étapes

POTENTIAL doit publier d’ici septembre un état des lieux qui servira à établir une feuille de route pour le développement des six projets d’ici 2025.

[Edited by Luca Bertuzzi]

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