Customize this title in frenchL’ancien chef de l’agence européenne des frontières rejoint le RN d’extrême droite française

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L’ancien directeur de l’agence européenne des frontières Frontex, Fabrice Leggeri, a annoncé samedi 17 février qu’il avait rejoint le Rassemblement national (RN) d’extrême droite française.

Leggeri, qui a démissionné de Frontex en 2022 alors qu’il faisait l’objet d’une enquête de l’Office antifraude de l’UE (OLAF), a déclaré qu’il avait rejoint la liste du parti de Marine Le Pen pour les élections européennes de juin.

« Le RN a un projet concret et la capacité de le réaliser », a-t-il déclaré au Journal du Dimanche.

« Nous sommes déterminés à lutter contre la submersion migratoire, que la Commission européenne et les eurocrates ne considèrent pas comme un problème, mais plutôt comme un projet : je peux en témoigner », a-t-il déclaré au journal.

Leggeri, fonctionnaire français de 55 ans, a dirigé Frontex de 2015 à 2022 avant de démissionner.

« Aujourd’hui, je choisis de mettre mon expérience et mon expertise au service des Français », a-t-il écrit sur X, anciennement Twitter.

« Pour l’UE, la migration n’est pas un problème, c’est un projet ».

« Diriger Frontex depuis près de sept ans et travailler pour l’État depuis une trentaine d’années, notamment dans les domaines de la sécurité et de l’immigration, rend cette décision cohérente », dit-il, ajoutant : « Pour l’UE, la migration n’est pas un problème, c’est un projet ».

Les sondages d’opinion suggèrent que les élections européennes apporteront des gains importants à l’extrême droite, et Leggeri est numéro trois sur la liste du Rassemblement national.

Durant son mandat à la tête de Frontex, Leggeri, figure de proue des frontières européennes impénétrables, a été fréquemment accusé de tolérer des « refoulements » illégaux de migrants.

Le magazine français Le Point a rapporté que le rapport confidentiel de l’OLAF sur Leggeri révélait que celui-ci « n’avait pas suivi les procédures, avait été malhonnête envers l’UE et avait mal géré son personnel ».

Le dossier – Borderline Frontex

Le Parlement européen a lancé cette semaine un avertissement sévère à l’agence européenne des frontières Frontex concernant sa « mauvaise conduite » liée au traitement des migrants aux frontières de l’UE, une décision considérée par beaucoup comme une victoire pour les droits de l’homme.

(Edité par Georgi Gotev)

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