Customize this title in frenchL’ancien premier ministre de Nouvelle-Galles du Sud s’oppose aux conclusions de l’ICAC

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Ancien premier ministre de la Nouvelle-Galles du Sud Gladys Berejiklian a déjà lancé une action en justice pour annuler la conclusion de la Commission indépendante contre la corruption (ICAC) selon laquelle elle s’était livrée à une « conduite de corruption grave ».

En juin de cette année, l’organisme de surveillance anti-corruption a rendu ses conclusions, plus de deux ans après que Berejiklian ait témoigné pour la première fois devant l’ICAC, admettant qu’elle entretenait une relation secrète avec l’ancien député libéral de Wagga Wagga, Daryl Maguire.

Le rapport de l’ICAC détaille de sérieuses preuves de corruption de la part des deux hommes.

Gladys Berejiklian
Gladys Berejiklian, ancienne première ministre de Nouvelle-Galles du Sud. (Reuters)

Berejiklian a maintenant lancé une procédure judiciaire contre les conclusions de l’ICAC devant la Cour d’appel.

L’affaire devrait être portée devant le tribunal de Sydney le 9 octobre.

L’organisme de surveillance a constaté que Berejiklian avait abusé de la confiance du public en 2016 et 2017 en ce qui concerne le financement qu’elle avait accordé ou promis pour deux projets de plusieurs millions de dollars poussés par Maguire.

L’ICAC a constaté que Berejiklian avait approuvé les subventions sans divulguer sa relation personnelle étroite avec Maguire, alors qu’elle avait un conflit d’intérêts entre son devoir public et son intérêt amoureux privé.

La commission a également constaté que Berejiklian s’était livrée à une conduite de corruption grave en omettant d’informer l’ICAC de ses soupçons selon lesquels Maguire s’était engagée dans des activités qui auraient pu être corrompues.

Malgré la gravité des délits de corruption, la commission n’a pas recommandé que Berejiklian soit poursuivi pour aucun d’entre eux.

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