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Un appel de Domenic Perre concernant sa condamnation pour attentat à la bombe contre le bureau de la National Crime Authority à Adélaïde devrait être rejeté après sa mort.
Perre est décédé à l’hôpital lundi alors qu’il purgeait une peine d’emprisonnement à perpétuité pour meurtre et tentative de meurtre.
Devant la Cour d’appel en février, il a fait valoir que ses condamnations ne pouvaient être confirmées sur la base des preuves et que quelqu’un d’autre, peut-être un mafieux aujourd’hui décédé, aurait pu être responsable.
Le tribunal n’a pas encore statué sur sa demande, mais son président, le juge Mark Livesey, a convoqué une audience spéciale vendredi.
Les responsables ont confirmé plus tard que la demande d’autorisation d’appel de Perre serait désormais rejetée.
Le tribunal publiera les motifs de sa décision en temps voulu.
Plus tôt cette semaine, le juge Livesey a déclaré qu’une fois la mort de Perre prouvée, généralement par un certificat de décès, son droit d’appel serait réduit.
« Cela est parfois décrit comme le droit d’appel de mourir avec l’appelant », a déclaré le juge.
Souffrant de plusieurs problèmes de santé graves, dont une maladie cardiaque et du diabète, l’homme de 66 ans a récemment été transféré de la prison à l’hôpital Royal Adelaide.
Le Département des services correctionnels a confirmé la mort de Perre mardi mais n’a pas précisé la cause.
Il avait auparavant subi une opération cardiaque.
Perre a été reconnu coupable du meurtre du sergent-détective Geoffrey Bowen, qui avait été détaché auprès de la NCA par les forces de police de WA, et de la tentative de meurtre de l’avocat Peter Wallis après l’explosion d’un colis piégé qu’il a construit et envoyé.
Le détective Sargent Bowen est décédé sur les lieux des suites de blessures graves, notamment la perte de son bras gauche.
Wallis, qui se tenait à proximité, a perdu un œil et a subi de graves brûlures dans l’explosion. Il est décédé en 2018.
La mort de Perre sera considérée comme survenue pendant sa détention et fera l’objet d’une enquête du coroner.
Sa famille et ses avocats envisageraient également une demande de grâce pour effacer son nom suite à la perte de cette opportunité par le biais du processus d’appel.
Perre avait toujours clamé son innocence, même après ses condamnations en juin dernier, plus de 28 ans après l’attentat.