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L’armée soudanaise a déclaré samedi qu’elle coordonnait les efforts pour évacuer les diplomates des États-Unis, de Grande-Bretagne, de Chine et de France hors du pays à bord d’avions militaires, alors que les combats se poursuivaient dans la capitale, y compris à son principal aéroport.
L’armée a déclaré que le chef de l’armée, le général Abdel Fattah Burhan, avait parlé aux dirigeants de divers pays demandant l’évacuation en toute sécurité de leurs citoyens et diplomates du Soudan.
Le ministre allemand des Affaires étrangères a déclaré qu’un cessez-le-feu au Soudan et l’évacuation des citoyens allemands sont une « priorité absolue », ajoutant que l’évolution de la situation n’était « pas claire » pour le moment.
Annalena Baerbock a fait ces remarques lors d’une conférence de presse conjointe avec son homologue espagnol José Manuel Albares à Berlin.
Les combats ont continué d’entraver les efforts déployés par les pays européens et autres pour évacuer leurs ressortissants du Soudan. Baerbock a déclaré qu’un nombre « faible à trois chiffres » d’Allemands avaient enregistré leur présence dans le pays.
« Pour des raisons de sécurité, nous ne sommes actuellement pas en mesure d’annoncer plus de détails, notamment parce que nous n’avons pas encore atteint le cessez-le-feu à ce jour », a-t-elle ajouté.
Albares a déclaré que l’Espagne avait des avions de l’armée de l’air prêts à aller à Djibouti, pour récupérer une soixantaine de citoyens espagnols, ainsi qu’une vingtaine d’autres personnes d’autres pays européens et d’Amérique latine.
Les plans des pays européens suivent une démarche similaire à celle des États-Unis et de la Corée du Sud. Washington et Séoul ont tous deux déployé des troupes militaires et des avions pour évacuer les ressortissants américains et sud-coréens bloqués.
Pendant ce temps, le général en chef du Soudan a déclaré vendredi l’engagement de l’armée envers un gouvernement dirigé par des civils, une tentative apparente de soutien international, alors même que ses forces combattent un groupe paramilitaire rival dans une lutte de pouvoir sanglante qui a fait dérailler les espoirs de transition démocratique du pays.
Les combats au Soudan se sont considérablement intensifiés entre l’armée du pays et sa force paramilitaire rivale, les Forces de soutien rapide (ou RSF), mettant la nation en danger d’effondrement.
Les combats, qui ont commencé alors que le Soudan tentait de passer à la démocratie, ont déjà tué des centaines de personnes et laissé des millions de personnes prises au piège dans les zones urbaines, à l’abri des coups de feu, des explosions et des pillards.