Customize this title in frenchL’Association française de l’industrie électrique exhorte l’UE à donner la priorité aux accords avec des parties privées dans le cadre de la réforme de l’électricité de l’UE

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsAlors que la réforme du marché de l’électricité de l’UE entre dans sa phase finale de négociations, l’association française de l’industrie électrique révèle ses recommandations dans un entretien exclusif avec Euractiv France, dont la première est la nécessité de donner la priorité aux contrats avec des parties privées. Lisez l’article original en français ici. En mars, la Commission européenne a proposé de réformer le marché européen de l’électricité afin d’éviter une nouvelle crise des prix de l’énergie en utilisant des contrats à long terme pour garantir une plus grande stabilité des prix et stimuler la production d’énergie renouvelable bon marché. Le 17 octobre, les pays de l’UE sont sortis d’une impasse qui durait depuis des mois pour convenir de leur position sur la réforme et se préparent depuis à des négociations avec le Parlement européen pour finaliser la loi dans les mois à venir. « Les positions adoptées par le Conseil et la Commission élargissent la boîte à outils européenne pour encourager les investissements bas carbone et réduire la volatilité des prix pour tous les types de clients », a déclaré Christine Goubet-Milhaud, présidente de l’UFE, l’association française des industriels de l’électricité, à Euractiv France. Alors que la conclusion de contrats public-privé via des contrats sur différence (CfD) bidirectionnels a été facilitée, l’UFE insiste pour donner aux entreprises la liberté de conclure des contrats d’achat d’électricité (PPA). Prioriser les PPA « La régulation par le biais de contrats avec garantie publique, comme les CfD, ne devrait intervenir qu’à un stade ultérieur pour garantir que les pouvoirs publics atteignent leurs objectifs », estime Goubet-Milhaud. L’objectif serait « d’éviter d’assécher le marché et la capacité des industriels et des fournisseurs d’énergie à négocier des contrats qui répondent à leurs besoins mutuels », explique-t-elle. Les CFD sont des contrats signés entre les pouvoirs publics et les producteurs d’énergie pour fixer un prix de référence qui, s’il est inférieur au prix du marché, est payé aux producteurs et, s’il est supérieur, est payé par l’État aux consommateurs. Les PPA proposent une forme similaire de régulation mais entre deux entités privées, généralement des producteurs, des fournisseurs, des distributeurs ou de gros consommateurs d’électricité – une solution privilégiée par l’UFE et Luc Rémont, le nouveau PDG d’EDF, l’entreprise publique qui est le principal fournisseur d’électricité. en France et en Europe. EDF veut plus de PPA Du côté d’EDF, son nouveau PDG souhaite se voir accorder une marge de manœuvre considérable pour négocier des contrats de gré à gré plutôt que de recourir aux CfD. En France, la question a conduit à une lutte acharnée entre le gouvernement français et EDF. Si un consensus a été trouvé sur l’introduction d’une « base de prix réglementée », comme l’a indiqué le ministère de la Transition énergétique à Euractiv début octobre, les volumes concernés et les prix réglementés font toujours l’objet de débats. Mais selon une source proche du dossier, la solution proposée actuellement par EDF « ne fonctionne pas ». Preuve en serait : « EDF travaille depuis près d’un an sur des contrats de vente de sa production nucléaire. [PPAs] sans qu’aucun d’eux n’ait été signé ». Pire encore, « les méthodes de négociation d’EDF sont très dures envers les industriels, dont certains se plaignent d’être pris en otage dans les négociations » entre Rémont et le gouvernement. Par ailleurs, si la production nucléaire d’EDF devait représenter une part trop importante des PPA, la capacité de l’État à redistribuer les revenus aux consommateurs en cas de prix de marché élevés serait gelée puisqu’une part importante de la production d’EDF ne serait pas commercialisée sur le marché. et serait donc réglementé, a ajouté la source. Les pays de l’UE favorables aux énergies renouvelables appellent à davantage de soutien à l’énergie verte Onze États membres de l’UE ont appelé la Commission européenne à contribuer à stimuler les énergies renouvelables, à réduire les formalités administratives et à faciliter l’adoption de la législation nécessaire au lancement de projets dans une communication conjointe envoyée la semaine dernière, avant le paquet européen sur l’énergie éolienne, attendu mardi (24). Octobre). Fini les PPA pour les PME Pour le marché de détail aussi, il serait intéressant de « faciliter la constitution de groupements d’achats pour les clients comme les TPE et les PME pour signer des PPA », estime Goubet-Milhaud reprenant les propos tenus par l’UFE en février dernier. Il est difficile pour les petits et moyens opérateurs, qui ne disposent pas de la trésorerie nécessaire, de signer de tels contrats. En revanche, dans le cas de PPA entre un fournisseur et un groupe de clients, ces derniers disposeraient de la capacité financière nécessaire, ce qui leur assurerait une sécurité d’approvisionnement en électricité pendant trois, quatre, cinq, « dix ou même 15 ans ». , ajoute Goubet-Milhaud. Revenus infra-marginaux Parallèlement, explique Goubet-Milhaud, « avec une bonne réforme, nous devrions avoir moins besoin de dispositifs hors marché pour répondre aux effets des crises », comme la taxation des revenus inframarginaux, qui sera introduite en 2022 et soutenu par la Commission, le Conseil et le Parlement européen. Ce système permettait de déduire et de redistribuer aux consommateurs la différence entre un certain prix de marché et un plafond défini. La mesure n’a affecté que les revenus dits « inframarginaux », notamment issus de la vente d’électricité nucléaire, renouvelable et à base de charbon. De plus, le meilleur moyen d’éviter ces mécanismes est de disposer à terme d’un mix énergétique fortement décarboné. Mais un tel parc, qui sera à terme constitué d’une très forte proportion d’énergie intermittente, notamment solaire et éolienne, nécessitera un réseau d’échanges résilient et flexible, note l’UFE. Pour l’UFE et son président, il est donc « important d’anticiper les investissements dans les réseaux pour éviter les goulots d’étranglement et favoriser la flexibilité et la gestion des consommations ». Lisez la note complète de l’UFE ci-dessous : 20231020_Trilogues_EMD_FR [Edited by Alice Taylor] En savoir plus avec EURACTIV !function(f,b,e,v,n,t,s) if(f.fbq)return;n=f.fbq=function()n.callMethod? n.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments); if(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=’2.0′; n.queue=[];t=b.createElement(e);t.async=!0; t.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0]; s.parentNode.insertBefore(t,s)(window, document,’script’, ‘https://connect.facebook.net/en_US/fbevents.js’); fbq(‘init’, ‘307743630704587’); fbq(‘track’, ‘PageView’);

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