Customize this title in frenchL’avocat spécial de l’ère Trump dénonce la conduite du FBI dans l’enquête sur la Russie

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words

L’avocat spécial américain John Durham a critiqué lundi l’enquête du FBI et du ministère de la Justice pour savoir si la campagne de Donald Trump avait conspiré avec la Russie pour s’immiscer dans les élections de 2016.

Il n’a toutefois pas émis de nouvelles accusations ni recommandé de changements importants aux procédures d’enquête dans son rapport final de 306 pages sur la question.

M. Durham, l’avocat spécial le plus ancien, a conclu au cours de son enquête de quatre ans que la propre enquête du gouvernement fédéral n’avait pas rigoureusement respecté les normes d’enquête tant en ouvrant l’enquête en 2016 qu’en la menant.

« Nous concluons que le département et le FBI n’ont pas rempli leur importante mission de stricte fidélité à la loi en relation avec certains événements et activités » sur lesquels M. Durham a enquêté, selon le rapport.

L’annonce met fin à une enquête très attendue qui était bien en deçà des affirmations de M. Trump selon lesquelles cela révélerait un complot visant à l’espionner et à saper sa présidence.

M. Durham a été sollicité en avril 2019 par le prédécesseur du procureur général Merrick Garland, William Barr, pour déterminer si le FBI ou des responsables du renseignement avaient commis des crimes dans la conduite de l’enquête dite Crossfire Hurricane sur la campagne de M. Trump en 2016.

Il a également conclu que les responsables traitaient M. Trump et sa campagne différemment de la campagne de la démocrate Hillary Clinton, qui était sa rivale en 2016.

Le président de la magistrature de la Chambre, Jim Jordan, un républicain de l’Ohio, a déclaré qu’il prévoyait que M. Durham témoigne publiquement sur le rapport la semaine prochaine.

Le FBI a publié lundi une déclaration indiquant que des réformes avaient été apportées depuis l’enquête de M. Durham.

« La conduite en 2016 et 2017 que l’avocat spécial Durham a examinée est la raison pour laquelle la direction actuelle du FBI a déjà mis en œuvre des dizaines de mesures correctives, qui sont maintenant en place depuis un certain temps », a déclaré le FBI dans le communiqué.

« Si ces réformes avaient été en place en 2016, les faux pas identifiés dans le rapport auraient pu être évités.

« Ce rapport renforce l’importance de s’assurer que le FBI continue à faire son travail avec la rigueur, l’objectivité et le professionnalisme que le peuple américain mérite et attend à juste titre. »

M. Trump et ses alliés conservateurs ont fait des affirmations répétées et non fondées selon lesquelles une cabale de personnalités de « l’État profond » aurait illégalement espionné sa campagne de 2016 et pris des mesures pour saboter son administration après son élection.

Ils comptaient sur M. Durham pour découvrir des scandales pour étayer leurs affirmations.

Le candidat républicain à la présidentielle a posté sur Truth Social, en disant : « WOW ! … le public américain a été victime d’une arnaque ».

En fin de compte, cependant, l’enquête de M. Durham n’a abouti qu’à des accusations contre trois personnalités de bas niveau, dont deux ont été acquittées par un jury.

Le travail de M. Durham a duré plus longtemps que l’enquête de l’avocat spécial Robert Mueller.

À titre de comparaison, l’enquête Mueller a abouti à 34 inculpations, à la condamnation d’un directeur de campagne de Trump, Paul Manafort, pour des délits financiers non liés et à un plaidoyer de culpabilité du premier conseiller à la sécurité nationale de M. Trump, Michael Flynn, pour avoir menti au FBI.

M. Trump a gracié les deux hommes avant de quitter ses fonctions.

La plupart des personnes inculpées par M. Mueller étaient des responsables russes qui n’ont jamais été appréhendés par les États-Unis pour être poursuivis.

M. Mueller a également documenté près d’une douzaine d’exemples d’entrave possible à la justice par M. Trump, et son enquête a révélé un complot criminel massif d’agents russes pour s’ingérer dans les élections de 2016.

Bloomberg a contribué à ce rapport

Mis à jour : 15 mai 2023, 22 h 56



Source link -57