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LONDRES — Le Royaume-Uni interdit aux colons israéliens violents d’entrer dans le pays, a annoncé jeudi le ministre des Affaires étrangères David Cameron, dans le but de « garantir que notre pays ne puisse pas être un foyer pour les personnes qui commettent ces actes d’intimidation ».
Dans un message publié sur les réseaux sociaux, Cameron – l’ancien Premier ministre britannique reconduit dans ses fonctions le mois dernier – a déclaré que « les colons extrémistes, en ciblant et en tuant des civils palestiniens, compromettent la sécurité et la stabilité des Israéliens et des Palestiniens ».
Et il a ajouté : « Israël doit prendre des mesures plus énergiques pour mettre fin à la violence des colons et demander des comptes à ses auteurs. Nous interdisons aux personnes responsables de la violence des colons d’entrer au Royaume-Uni pour garantir que notre pays ne puisse pas accueillir les personnes qui commettent ces actes d’intimidation. »
Cette décision intervient alors que la communauté internationale s’intéresse de plus en plus aux violences contre les Palestiniens en Cisjordanie occupée par Israël.
Le plus haut diplomate européen, Josep Borrell, a déclaré lundi qu’il proposerait des sanctions contre les colons israéliens « extrémistes », tandis que les États-Unis ont décidé la semaine dernière d’imposer leurs propres interdictions de voyager aux colons impliqués dans les récentes attaques contre les Palestiniens. « Comme le président Biden l’a dit à plusieurs reprises, ces attaques sont inacceptables », a déclaré le secrétaire d’État américain Antony Blinken.
L’appel de Cameron à Israël de faire davantage pour mettre fin à la violence des colons israéliens sera considéré comme une rare réprimande de l’administration britannique du Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui a souligné son soutien au droit d’Israël à se défendre – tout en respectant le droit international – suite à la attaques meurtrières du Hamas contre des civils israéliens le 7 octobre.
Cette semaine, le Royaume-Uni s’est associé aux États-Unis pour imposer de nouvelles sanctions aux dirigeants et aux financiers du Hamas, dans le but de garantir que le groupe n’ait « aucun avenir à Gaza ».