Customize this title in frenchLe budget 2024 de la France sur la corde raide alors que la procédure de déficit excessif se profile

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLe budget français pour 2024 est sur une ligne ténue, le financement de la transition verte et la lutte contre l’inflation ayant priorité sur la réduction de la dette publique – même si le déficit élevé fait craindre que la Commission ne déclenche une procédure de déficit excessif. « [France has] trois défis à relever : la crise inflationniste, la réduction de la dette et du déficit, et la garantie d’une marge de manœuvre budgétaire pour investir dans la sécurité, la transition verte et l’éducation », a déclaré le ministre de l’Economie Bruno Le Maire aux journalistes, mercredi 27 septembre, lors de la présentation du budget 2024. projet de loi, qui devrait commencer ses cycles législatifs à l’automne. Bien que le gouvernement se soit engagé à « accélérer » la réduction de la dette publique, les chiffres montrent que la réduction des niveaux d’endettement prendra probablement plus de temps. 7 milliards d’euros supplémentaires, annoncés la semaine dernière par la Première ministre Elisabeth Borne, devraient être consacrés à la transition verte. Le gouvernement a également accepté de continuer à lier les prestations sociales et les retraites à l’inflation, ainsi qu’à augmenter les budgets des ministères de l’Intérieur, de la Justice et de la Défense. Les intérêts de la dette publique devraient encore augmenter de 10 milliards d’euros. Quant aux réductions des dépenses, elles sont principalement le résultat de la fin du « bouclier énergétique », mis en œuvre pour la première fois début 2022 après le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, pour protéger les consommateurs de la flambée des prix de l’énergie. Les débats sur le budget 2024 en France reflètent la querelle sur les règles de la dette de l’UE En élaborant son projet de loi de finances 2024, qui doit être présenté mercredi (27 septembre), la France marche sur la corde raide entre la réduction des niveaux d’endettement et le maintien de la marge budgétaire nécessaire aux investissements verts à grande échelle – à l’image des débats en cours au niveau européen sur les nouvelles règles budgétaires. . Des niveaux de déficit et d’endettement dans le rouge Réduire la dette publique et les niveaux de déficit est peut-être « l’impératif catégorique » de Le Maire – après des années d’approche budgétaire « quoi qu’il en coûte » pour lutter contre les pires effets de la pandémie et de la crise inflationniste – mais selon le budget dans l’état actuel des choses, des réductions significatives des dépenses devront attendre. Au lieu de cela, alors que les dépenses publiques continuent d’augmenter en 2024, le gouvernement mise sur de fortes prévisions de croissance économique pour augmenter les recettes budgétaires. Il estime que la croissance pour 2023 atteindra 1,4 %, en baisse par rapport à sa prévision précédente de 1,6 % – mais nettement supérieure aux attentes de 0,9 % de la Banque centrale française. Les niveaux de déficit resteront à 4,9 % du PIB en 2023 et tomberont à 4,4 % en 2024, prévoit le gouvernement. Dans le même temps, le niveau d’endettement devrait rester stable à 109,7 % du PIB en 2024, selon les prévisions du ministère français de l’Économie, et atteindra le niveau attendu de 108,1 % d’ici 2027. Ce budget est « indéniablement le premier pas vers le redressement des comptes publics », a déclaré Le Maire. Le ministre a souligné le succès des réformes structurelles, notamment celle de la très contestée réforme des retraites, qui a permis d’économiser 12,5 milliards d’euros. Il a également confirmé la suppression d’allégements fiscaux spécifiques dans le secteur de la location immobilière, ainsi qu’une nouvelle taxe sur les « infrastructures de transport », qui rapportera 600 millions d’euros de recettes attendues pour la seule année 2024. Le Maire en France : Nous serons la première économie verte de l’UE d’ici 2040 La France est sur le point de devenir l’une des principales nations vertes d’Europe, a annoncé jeudi 24 août le ministre de l’Economie Bruno Le Maire, ajoutant que l’augmentation des investissements dans l’industrie verte – tout en maîtrisant les dépenses publiques – serait la priorité du pays. Les yeux rivés sur la stratégie de réindustrialisation Lorsqu’il s’agit de stimuler de nouveaux investissements, le gouvernement s’est engagé à « rester fidèle » à son intention de maintenir des impôts bas : jusqu’à présent, selon Le Maire, cette « économie de l’offre » a créé 2 millions d’emplois, ouvert 300 usines et « a maintenu la croissance française positive alors que les voisins de l’UE entrent en récession ». À long terme, le plan du gouvernement est de réduire les déficits publics dans l’espoir que sa stratégie de réindustrialisation et ses politiques favorables aux entreprises commenceront à porter leurs fruits, à mesure qu’une croissance économique plus forte entraînera une augmentation des recettes fiscales et une baisse du chômage. Le gouvernement vise un taux de chômage de 5% – ce qu’il considère comme le niveau de plein emploi en France – d’ici 2027. Les taux d’imposition des sociétés ont été abaissés de 33 % à 25 % au cours du premier mandat de Macron, et les recettes devraient augmenter de 11 milliards d’euros en 2024, a déclaré une source ministérielle à Euractiv. D’autres taxes de « production » – qui s’appliquent aux processus de production et à la valeur ajoutée des entreprises – seront progressivement supprimées d’ici 2027. Par ailleurs, la promesse faite il y a quelques mois par Macron de réduire les impôts des ménages de 2 milliards d’euros supplémentaires devra attendre 2025, a annoncé Le Maire. D’autres mesures, comme le plan gouvernemental de lutte contre la fraude fiscale et « sociale », devraient également entrer en vigueur en 2025. En fin de compte, à la lumière d’une économie mondiale incertaine et de pressions inflationnistes continues, le gouvernement adopte une ligne budgétaire stricte. « Le gouvernement est coincé entre des objectifs différents et contradictoires : maîtriser la dette publique tout en atténuant la crise actuelle du pouvoir d’achat et investir dans la transition verte », a déclaré Sylvain Bersinger, économiste en chef du cabinet de conseil économique Asterès, à Euractiv en début de semaine. Procédure de déficit excessif Malgré le discours combatif du gouvernement, un rapport non contraignant publié mercredi par l’organisme français de surveillance des finances publiques a averti que les prévisions de croissance du gouvernement étaient globalement « élevées », citant une situation économique très volatile et des intérêts toujours croissants sur la dette publique. Le chiffre de déficit de 4,4% pour 2024 est également jugé « optimiste ». Parallèlement, il a alerté les ministres contre un éventuel déclenchement d’une procédure de déficit excessif (PDE) au printemps 2024 : le déficit structurel – qui contrôle effectivement l’inflation – s’élèverait au niveau « très élevé » de 3,7 % du PIB d’ici la fin de l’année prochaine. année, alors que les dépenses publiques augmentent plus rapidement que ce qui est recommandé par les règles budgétaires de l’UE. La Commission européenne peut déclencher une PDE pour pousser les États membres à réduire les déficits jugés trop importants. Lorsque cela se produit, les pays ciblés doivent proposer des plans de réduction et des délais, sinon ils risquent d’être condamnés à une amende. « Le budget contient très peu de mesures structurelles de réduction des dépenses », indique le rapport, et un déficit supérieur au seuil de 3 % inscrit dans les traités européens pourrait exposer la France à un examen plus approfondi de la part de la Commission. Un autre projet de loi de finances, applicable aux années 2023-2027, devrait également être adopté par le Parlement mercredi soir – selon une procédure de non-vote, dite « 49.3 ». Selon le ministère de l’Économie, son approbation est nécessaire pour débloquer 18 milliards d’euros de la facilité pour la reprise et la résilience (FRR) de l’UE. [Edited by Janos Allenbach-Ammann/Nathalie Weatherald] En savoir plus avec EURACTIV Le budget à long terme de l’UE doit être réformé, selon les législateurs et les expertsAlors que les institutions européennes se préparent à négocier la proposition de révision du CFP 2021-2027, les experts et les législateurs exhortent Bruxelles à repenser le cadre budgétaire global de l’UE pour s’assurer qu’il réponde mieux aux besoins de dépenses à long terme. !function(f,b,e,v,n,t,s) if(f.fbq)return;n=f.fbq=function()n.callMethod? n.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments); if(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=’2.0′; n.queue=[];t=b.createElement(e);t.async=!0; t.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0]; s.parentNode.insertBefore(t,s)(window, document,’script’, ‘https://connect.facebook.net/en_US/fbevents.js’); fbq(‘init’, ‘307743630704587’); fbq(‘track’, ‘PageView’);

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