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Dans une annonce faite dimanche, l’armée américaine a révélé qu’elle avait mené une frappe ciblée entraînant la mort d’Usamah al-Muhajir, un éminent dirigeant de l’État islamique situé dans l’est de la Syrie, a rapporté Reuters.
La frappe a été menée vendredi à l’aide de drones MQ-9, qui avaient auparavant rencontré des interférences d’avions russes lors d’un incident qui a duré près de deux heures, selon un communiqué du Commandement central américain.
« La frappe de vendredi a été menée par les mêmes MQ-9 qui avaient, plus tôt dans la journée, été harcelés par des avions russes lors d’une rencontre qui avait duré près de deux heures », indique le communiqué du Commandement central américain, rapporté par le Guardian. .
L’US Air Force a publié mercredi des séquences vidéo qui auraient capturé la rencontre entre les drones et les avions de chasse russes, démontrant la nécessité pour les MQ-9 Reapers d’employer des manœuvres d’évitement. Exprimant sa préoccupation face à l’incident, l’US Air Forces Central a publié une déclaration condamnant les actions des forces aériennes russes opérant en Syrie, les qualifiant de non professionnelles et dangereuses.
Le lieutenant-général Alex Grynkewich, commandant de la Neuvième armée de l’air au Moyen-Orient, a raconté que l’un des pilotes russes avait délibérément positionné son avion devant un drone et engagé la postcombustion du SU-35, entravant intentionnellement le fonctionnement en toute sécurité du drone par le opérateur.
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Washington intensifie ses raids contre des membres présumés de l’État islamique en Syrie
Dans un effort intensifié, Washington a multiplié les raids et les opérations ciblant les membres présumés de l’État islamique (EI) en Syrie. Les opérations ont entraîné le meurtre et l’arrestation de dirigeants qui avaient cherché refuge dans des zones sous le contrôle des rebelles soutenus par la Turquie à la suite des pertes territoriales du groupe en Syrie en 2019.
Depuis la campagne réussie qui a éliminé l’ancien chef de l’EI Abou Bakr al-Baghdadi, connu pour s’être déclaré le «calife de tous les musulmans», les États-Unis et leurs alliés poursuivent activement les dirigeants survivants. On pense que bon nombre de ces personnes ont participé à la planification d’attentats à l’étranger.
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Lors de son apogée en 2014, l’EI contrôlait une partie importante de l’Irak et de la Syrie. Bien qu’ils aient été repoussés dans les deux pays, les militants du groupe continuent de mener des attaques insurrectionnelles, soulignant les défis permanents posés par leur présence.
La frappe de l’armée américaine contre Usamah al-Muhajir, le chef de l’Etat islamique, fait partie de ses efforts continus pour contrer la menace posée par le groupe extrémiste dans la région.