Customize this title in frenchLe chef d’une secte kenyane qui a incité ses fidèles à mourir de faim « pour rencontrer Jésus » devra faire face à des accusations de terrorisme

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Le chef de secte kenyan et pasteur autoproclamé Paul Nthenge Mackenzie, qui a comparu devant le tribunal mardi, sera jugé pour terrorisme pour avoir causé la famine et la mort de plus de 100 personnes dans ce qui a été surnommé le «massacre de la forêt de Shakahola».

Les procureurs ont déclaré que l’accusé devra également faire face à des accusations de meurtre, d’enlèvement et de cruauté envers des enfants, entre autres crimes, a rapporté l’agence de presse AFP.

Au cours de la brève audience, le tribunal de Malindi a décidé de renvoyer l’affaire devant la haute cour de la deuxième ville du Kenya, Mombasa, à la demande du procureur.

« Il y a un tribunal (à Mombasa) qui est reconnu pour traiter les affaires relevant de la loi sur la prévention du terrorisme », a déclaré le procureur Vivian Kambaga à un magistrat.

Mackenzie, qui a créé la Good News International Church en 2003, est accusé d’avoir incité ses fidèles à mourir de faim « pour rencontrer Jésus ».

Le pays profondément religieux d’Afrique de l’Est, qui a une population à majorité chrétienne, a été stupéfait le mois dernier après la découverte des charniers dans une forêt près de la ville côtière de Malindi, dans l’océan Indien.

Après avoir trouvé 30 fosses communes, la police, agissant sur une dénonciation, a attrapé l’ancien chauffeur de taxi le 14 avril. Au total, 109 personnes ont été confirmées mortes à ce jour, pour la plupart des enfants. Les premières autopsies de Shakahola ont été pratiquées lundi sur neuf enfants et une femme.

Le nombre de morts dans le culte de la famine au Kenya s’élève à 58

Les autorités ont confirmé que leur mort avait été causée par la famine, bien que certaines victimes aient été asphyxiées.

Outre Mackenzie, des responsables tentent également de poursuivre Ezekiel Odero, un télévangéliste riche et de haut niveau, qui a été arrêté jeudi à Malindi dans le cadre de la même affaire.

Odero est soupçonné de meurtre, d’aide au suicide, d’enlèvement, de radicalisation, de crimes contre l’humanité, de cruauté envers les enfants, de fraude et de blanchiment d’argent.

L’accusation cherche à le détenir pendant 30 jours supplémentaires, citant des informations crédibles établissant un lien entre les cadavres exhumés à Shakahola et la mort de plusieurs « adeptes innocents et vulnérables » du centre et de l’église de prière de la nouvelle vie d’Odero, a rapporté l’AFP.

Les responsables ont affirmé qu’Odero et Mackenzie partagent une « histoire d’investissements commerciaux », y compris une station de télévision utilisée pour diffuser des messages radicalisés parmi les adeptes.

À la suite de ces horribles incidents, le président kenyan William Ruto s’est engagé à intervenir dans les mouvements religieux du pays qui abrite environ 4 000 églises.

(Avec les contributions des agences)

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