Customize this title in frenchLe commerce de la cocaïne se développe rapidement en Europe, notamment en France

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Alors que le marché de la cocaïne continue de croître dans le monde, un nouveau rapport de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT) a constaté que la consommation n’a cessé d’augmenter à travers l’Europe et en particulier en France.

Lire l’article original en français ici.

La circulation de la cocaïne dans le monde, en Europe et en France a augmenté depuis les années 2010, constate le rapport de l’OFTD, ajoutant que la drogue représente désormais un tiers du marché des stupéfiants en Europe.

Mercredi 28 mars, la présidence du Conseil de l’UE a annoncé que le rôle de l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT) sera renforcé pour mieux répondre aux nouveaux défis sanitaires et sécuritaires.

La France est l’un des plus gros consommateurs de cocaïne de l’UE, avec 600 000 usagers par an, selon les estimations 2017 de l’OFDT. Les chiffres ont atteint cinq millions pour les consommateurs de cannabis et 400 000 pour les consommateurs de MDMA/ecstasy.

« Depuis plusieurs années, des signaux montrent une augmentation de la consommation de cocaïne, quelle que soit sa forme (poudre ou base de cocaïne : wafer, crack) », a déclaré l’agence sanitaire française Santé Publique France, qui a également participé au rapport.

La consommation de cocaïne a augmenté chez les adultes, bien qu’il y ait eu une « diversification des profils de consommateurs », la cocaïne, traditionnellement considérée comme la drogue des riches et des riches consommée dans des atmosphères festives, étant désormais prise dans une plus large partie de la société, Santé Public France l’a dit aussi.

« Cette pluralité de profils d’usagers se traduit également par la diversification des modes de consommation, sous forme sniffée (cocaïne en poudre), fumée/inhalée (cocaïne base ou crack) ou injectée », écrit l’OFDT dans le rapport publié lundi 27 mars. ).

Dans le même temps, la consommation des jeunes diminue.

Entre 2000 et 2014, la consommation de cocaïne a plus que triplé chez les jeunes de 17 ans (0,9 % en 2000 et 3,2 % en 2014), mais en 2022, seulement 1,4 % avaient consommé cette drogue.

Par ailleurs, les forces de l’ordre ont augmenté leurs saisies, selon l’Office antidrogue, qui estime une saisie de 27,7 tonnes de cocaïne en 2022 en France, contre 10,8 tonnes en 2011.

La Belgique et les Pays-Bas parmi les principaux hubs de cocaïne d’Europe occidentale

La Belgique et les Pays-Bas sont devenus les principaux centres d’importation de cocaïne d’Europe occidentale, selon un rapport de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) présenté jeudi à Vienne.

« Les points d’arrivée en Europe ont changé, avec la Belgique et…

Les visites aux urgences triplent

Les risques pour la santé associés à la consommation de cocaïne sont cependant importants, la France ayant vu tripler les visites aux urgences pour consommation de cocaïne entre 2010 et 2022, selon l’agence nationale de santé publique française.

Au total, 23 335 personnes se sont retrouvées aux urgences après avoir consommé de la cocaïne de 2010 à 2022, un chiffre qui représente en moyenne 72 admissions aux urgences par semaine en 2022.

« La majorité des admissions aux urgences [after cocaine use] étaient des hommes (75 %) et l’âge médian était de 32 ans, ce qui correspond aux profils de la population générale qui consomment habituellement le plus de cocaïne », indique le rapport.

Les trois principales raisons sont l’intoxication (65%), la dépendance (13%) ou le sevrage (7,5%).

La plupart des visites aux urgences liées à la cocaïne sont également associées à la consommation d’alcool, de benzodiazépines, de cannabis ou d’opioïdes – des patients que Santé Publique France appelle des « poly-usagers de drogues ».

La hausse des intoxications aux substances s’explique notamment par le fait que la cocaïne à plus forte teneur en principe actif est sur le marché depuis près de dix ans ou par l’émergence de nouveaux produits de synthèse (NPS) plus puissants et plus toxiques.

La polyconsommation, notamment le mélange d’alcool et de cocaïne, augmente également le risque d’intoxication.

Cocaïne : un tiers du trafic de drogue européen

La consommation de cocaïne se développe également rapidement dans l’UE, avec environ 3,5 millions de consommateurs en 2020, selon les chiffres de l’OFDT.

L’augmentation de l’offre qui accompagne la demande croissante a entraîné une augmentation de la culture de la coca dans plusieurs pays du monde. De 2020 à 2021, la culture a augmenté de 35 % – un record et la plus forte augmentation d’une année sur l’autre depuis 2016, a averti l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) dans un rapport publié le 16 mars.

Le même rapport pointe également l’émergence de nouveaux hubs de cocaïne en Europe ces dernières années, notamment via l’Europe du Sud-Est et les ports d’Anvers, Rotterdam et Hambourg.

En 2021, un volume record de près de 70 tonnes a été saisi à Rotterdam, un bond de 74% par rapport à 2020, a indiqué à l’AFP Ger Scheringa, un douanier du port néerlandais.

Le problème a « pris de l’ampleur ces dernières années », a-t-il admis.

Quant au port d’Anvers en Belgique, plus de 100 tonnes de cocaïne ont été saisies la même année, représentant 40% des drogues saisies par la police.

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[Edited by Nathalie Weatherald]



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