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Le géant ferroviaire chinois CRRC s’est retiré d’un projet soumis à un appel d’offres en Bulgarie après que l’UE a lancé le mois dernier une enquête sur des subventions présumées, a annoncé la Commission européenne mardi 26 mars.
Suite au retrait du CRRC, la commission « clôturera son enquête approfondie », a-t-il indiqué.
Bruxelles avait annoncé l’enquête le 16 février. Le commissaire européen au marché intérieur, Thierry Breton, avait alors déclaré que CRRC Qingdao Sifang Locomotive aurait eu recours à des subventions pour « soumettre une offre indûment avantageuse » afin de tenter de remporter l’appel d’offres pour les trains électriques en Bulgarie. .
Mardi, la commission a déclaré qu’elle « prend note du retrait » du CRRC.
« En quelques semaines seulement, notre première enquête au titre du règlement sur les subventions étrangères a déjà donné des résultats », a déclaré Breton.
Il a déclaré que le marché unique européen restait ouvert « aux entreprises véritablement compétitives et loyales », mais que Bruxelles prendrait « toutes les mesures nécessaires pour préserver la sécurité économique et la compétitivité de l’Europe ».
L’appel d’offres de la Bulgarie portait sur l’achat de 20 trains électriques et leur maintenance sur 15 ans, pour une valeur totale d’environ 610 millions d’euros.
CRRC est le plus grand constructeur ferroviaire au monde. Elle a des contrats dans plus de 110 pays et régions, des villes américaines à l’Inde et à l’Amérique latine.
En vertu du règlement de l’UE sur les subventions étrangères, les entreprises doivent notifier à la Commission européenne tout appel d’offres public dans l’UE d’une valeur supérieure à 250 millions d’euros, si elles ont également obtenu au moins quatre millions d’euros de contributions financières étrangères au cours des trois années précédentes.
L’UE a récemment intensifié sa surveillance des entreprises chinoises susceptibles de bénéficier de subventions publiques pour surenchérir sur leurs rivales.
En septembre, la chef de la commission, Ursula von der Leyen, a annoncé une enquête sur les subventions chinoises aux véhicules électriques jugées « artificiellement faibles » par l’industrie européenne.
Et en janvier, Bruxelles a dévoilé des politiques visant à empêcher que des technologies ou des infrastructures sensibles ne tombent entre les mains de rivaux économiques tels que la Chine.