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La politicienne allemande et vétéran de la défense Marie-Agnes Strack-Zimmermann est sur le point de rejoindre la course à la tête de l’exécutif européen, après avoir été présentée comme tête de liste du Parti libéral européen (ALDE) lors du scrutin de juin.
Strack-Zimmermann – qui appartient au Parti libre-démocrate (FDP) allemand, qui fait partie de la coalition gouvernementale à trois du pays – était le seul nom proposé pour diriger la candidature électorale de l’ALDE.
L’ADLE est l’une des trois forces politiques qui composent le groupe centriste Renew Europe, qui abrite les partis politiques libéraux et pro-européens au Parlement européen.
Experte de la défense qui s’est bâtie une réputation nationale pour ses critiques virulentes de la guerre menée par la Russie contre l’Ukraine, Strack-Zimmermann sera l’une des trois candidates envoyées par Renew pour s’affronter avant le vote de juin.
Elle préside la commission de la défense du Bundestag et a constamment fait pression sur le chancelier Olaf Scholz pour qu’il renforce son soutien militaire en livrant davantage de munitions et d’armes à longue portée, notamment des missiles de croisière Taurus, à Kiev.
Sa nomination sera officialisée par un vote des délégués de l’ADLE lors du coup d’envoi de la campagne du groupe Renew à Bruxelles le 20 mars. Un porte-parole a déclaré à Euronews que sa nomination était pratiquement garantie.
« Le parti ADLE estime que Marie-Agnès possède un profil fort et approprié, nécessaire pour transmettre notre message libéral dans la campagne européenne pour que l’Europe retrouve un avantage compétitif, pour que nos citoyens retrouvent confiance dans les institutions européennes et pour faire de l’Europe un endroit sûr pour ses citoyens », a déclaré le parti dans un communiqué.
Parmi ses partis membres figurent le Parti réformateur estonien du Premier ministre estonien Kaja Kallas et le Parti populaire pour la liberté et la démocratie du Premier ministre intérimaire néerlandais Mark Rutte.
Le groupe Renew Europe abrite également deux autres partis politiques, le Parti démocrate européen (EDP) et le parti Renaissance du président français Emmanuel Macron.
Chacune de ses trois forces politiques présentera des candidats tête de liste avant le scrutin crucial de juin. Le PDE a déjà nommé Sandro Gozi, actuel député européen, et Renaissance réfléchit à Valérie Hayer, qui également préside le groupe Renew au Parlement européenselon leur choix.
Un porte-parole de Renew a déclaré à Euronews que lorsque les trois partis se réuniront à Bruxelles plus tard ce mois-ci, il est probable que Strack-Zimmermann sera le premier choix parmi les trois, susceptible de représenter Renew Europe dans les débats électoraux et de mener la lutte lors des rassemblements électoraux. .
Les trois partis présenteront également des manifestes individuels, mais se sont mis d’accord sur des « 10 priorités » communes, qui doivent être dévoilées plus tard ce mois-ci.
Mais aucun des trois candidats n’a de chances d’avoir une chance d’accéder au poste le plus élevé de la Commission, les derniers sondages suggérant que le groupe Renew pourrait chuter de la troisième à la cinquième place lors du vote de juin, perdant ainsi sa position de faiseur de roi au profit des groupes d’extrême droite.
Ursula von der Leyen, la candidat principal du Parti populaire européen (PPE), de centre-droit, va probablement naviguer sans contestation pour obtenir un second mandat à la tête de la Commission.
« L’Europe de la liberté »
Cette confirmation intervient alors que le parti FDP a lancé sa campagne électorale avant le vote à l’échelle européenne, qui aura lieu le 9 juin en Allemagne. Strack-Zimmermann sera également tête de liste électorale.
Elle a fait de la défense et d’une économie de marché les principes fondamentaux de son programme, promettant de garantir moins de bureaucratie, plus de libertés individuelles et plus de sécurité pour les Européens.
Dans son manifeste, son parti propose un soutien supplémentaire à l’Ukraine afin qu’elle puisse « gagner la guerre et retrouver son intégrité territoriale », une pression en faveur de davantage d’accords de libre-échange, notamment avec les États-Unis, une nouvelle « loi européenne sur la réduction de la bureaucratie » et la légalisation de l’Ukraine. de cannabis.
Christian Lindner, leader du FDP et ministre des Finances allemand, dit que la campagne du parti est « une double déclaration de guerre » contre ceux qui sont contre l’unification européenne et contre ceux qui veulent faire de l’UE un « piège bureaucratique ».
Le parti espère que le fort profil national développé par Strack-Zimmermann en matière de politique de défense dans le contexte de l’agression russe pourra contribuer à renforcer son soutien dans les sondages.
Mais alors que les trois partis de la coalition gouvernementale allemande se battent avec des taux de popularité parmi les plus bas de leur histoire, son parti se trouve confronté à une bataille difficile. Des sondages récents placent le FDP à 5 %, son taux de soutien le plus bas depuis les élections fédérales de 2021.
Le FDP a également souvent suscité un tollé à Bruxelles suite à des tentatives de dernière minute d’opposer son veto à des lois européennes clés, notamment l’abandon progressif du moteur à combustion et, plus récemment, de nouvelles règles obligeant les entreprises à contrôler leurs partenaires commerciaux en cas de dommages environnementaux et de violations des droits de l’homme.