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L’interdiction aura un impact sur l’utilisation récréative du protoxyde d’azote, qui sera toujours disponible à des fins médicales et culinaires.
Le gouvernement belge a annoncé qu’il interdirait officiellement l’utilisation du protoxyde d’azote, plus communément appelé gaz hilarantaprès une hausse de la consommation de cette substance chez les jeunes au cours des dernières années.
Bien qu’une interdiction du gaz hilarant ait été proposée pour la première fois au niveau fédéral il y a un an, cette substance reste aujourd’hui disponible gratuitement. Mais selon un communiqué publié jeudi par le ministre de la Justice Paul Van Tigchel et la ministre de l’Intérieur Annelies Verlinden, le gouvernement belge rendra bientôt illégales la possession, le transport et la vente de protoxyde d’azote dans le pays.
La consommation de protoxyde d’azote chez les jeunes lors d’une sortie nocturne dans des pays comme le Royaume-Uni, la Belgique et la France a augmenté ces dernières années, en partie parce que ce médicament est facilement disponible et bon marché. Une fois inhalé, le gaz procure à l’utilisateur une sensation temporaire d’euphorie, de relaxation et une sensation de détachement, le Observatoire européen des drogues et des toxicomanies expliquer.
L’année dernière, le Centre a qualifié d’« alarmante » l’augmentation de la consommation de cette substance. Des images de dizaines de bidons vides dans des villes comme Londres et Bruxelles ont fait le tour des réseaux sociaux et des médias.
« Le gouvernement a décidé d’insérer le protoxyde d’azote dans la loi sur les drogues », peut-on lire dans un communiqué du conseil des ministres cité par les médias belges. « L’usage abusif sera poursuivi comme le cannabis », indique un communiqué du cabinet.
L’interdiction bénéficie du soutien de ministres clés et elle sera probablement approuvée sous forme de décret royal, un décret gouvernemental fédéral signé par le roi mais approuvé par les ministres. Même si la vente, l’importation, la possession, le transport et l’achat de protoxyde d’azote seront interdits, la substance restera disponible comme anesthésique médical et dans l’industrie alimentaire, où elle est souvent utilisée dans les crèmes fouettées.
La Belgique n’est pas le premier pays à interdire le gaz hilarant. Les Pays-Bas ont imposé une interdiction au début de l’année, tandis que le Le Royaume-Uni interdit le gaz hilarant pour un usage récréatif début novembre. Le protoxyde d’azote est désormais classé au Royaume-Uni dans la catégorie des drogues de classe C, au même titre que les stéroïdes et le khat, une drogue stimulante généralement mâchée comme du tabac.