Customize this title in frenchLe groupe musulman CAIR abandonné par la Maison Blanche suite au massacre du 7 octobre fait face à un SCANDALE SEXUEL après qu’une ancienne dirigeante a déclaré que les patrons masculins étaient des nuisibles sexuels

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words Lori Saroya a porté plainte contre le Conseil des relations américano-islamiques (CAIR)Le directeur du CAIR s’est dit « heureux » après l’attaque terroriste du Hamas en octobreLa direction du groupe a déjà été accusée de harcèlement Par Germania Rodriguez Poleo pour Dailymail.Com Publié : 17h43 GMT, le 25 janvier 2024 | Mis à jour: 21h01 GMT, le 25 janvier 2024 Un groupe musulman reconnu au niveau national, qui a été écarté par la Maison Blanche en raison de la réaction de son directeur aux attentats du Hamas du 7 octobre, est désormais accusé d’encourager un environnement de harcèlement sexuel.Lori Saroya, 42 ans, ancienne dirigeante du Conseil des relations américano-islamiques (CAIR), a accusé les dirigeants du groupe d’agression sexuelle et de harcèlement dans le cadre d’un procès fédéral en diffamation intenté la semaine dernière au Minnesota. Le CAIR a été abandonné suite aux efforts de l’administration Biden visant à créer une stratégie nationale contre l’antisémitisme après que son co-fondateur et directeur Nihad Awad se soit déclaré « heureux » après que les terroristes du Hamas ont déclenché une attaque en Israël en octobre dernier. Le procès de Soroya fait suite à un communiqué de presse du CAIR de janvier 2022, dans lequel il l’accusait d’avoir mené « une campagne de diffamation systémique et continue sur Internet destinée à nuire » [CAIR’s] réputation et lui causer de graves dommages économiques.Soroya dit qu’elle a quitté le CAIR après avoir demandé à l’organisation d’examiner les plaintes pour agression et harcèlement contre plusieurs dirigeants, dont une de Soroya elle-même, qui affirmait qu’un dirigeant « s’était livré à une conduite importune et hautement inappropriée » à son égard. L’homme qu’elle accuse n’a pas été nommé. Lori Saroya, 42 ans, ancienne dirigeante du Conseil sur les relations américano-islamiques (CAIR), a accusé les dirigeants du groupe d’agression sexuelle et de harcèlement. Le CAIR a été abandonné suite aux efforts de l’administration Biden visant à créer une stratégie nationale contre l’antisémitisme après que le directeur Nihad Awad s’est déclaré « heureux » après l’attaque du Hamas contre Israël en octobre.Dans sa propre action en diffamation déposée en 2021, le CAIR avait précédemment accusé Soroya de « cyberharcèlement » de membres du personnel et d’utilisation de fausses adresses e-mail et de faux comptes de réseaux sociaux pour diffuser « des tropes islamophobes et des théories du complot » à propos du groupe controversé.La plainte du CAIR, qu’ils ont eux-mêmes rejetée, affirmait que Soroya avait « volontairement démissionné » après qu’une employée ait déclaré que Soroya l’avait harcelée au point que la victime présumée envisageait de demander une injonction de ne pas faire. Soroya, membre du conseil municipal de Blaine, affirme qu’elle a été victime d’intimidation en ligne à la suite des accusations du CAIR et qu’elle a eu trop peur pour aller à sa mosquée. Elle affirme également que les allégations pourraient avoir affecté les entretiens d’embauche qu’elle avait eus à l’époque, comme le rapporte le Star Tribune.Sa plainte allègue que les affirmations du CAIR sont « scandaleusement fausses » et que l’organisation participe à un « effort concerté visant à ternir sa réputation » et à la faire taire. »La plainte dresse un bilan de graves problèmes au sein d’une organisation qui se présente comme une organisation de défense des droits civiques mais, comme la plainte l’indique clairement, elle s’est livrée à un comportement qui est tout à fait le contraire », a déclaré l’avocat de Soroya, Jeff Robbins, au New York. Poste. En avril 2021, une enquête de NPR comprenait des accusations d’intimidation et de harcèlement sexuel contre Hassan Shably, alors chef de la section de Floride du CAIR.Le CAIR, le plus grand groupe musulman de défense des droits civiques du pays, a été secoué par des allégations d’agression et de harcèlement sexuels, de financement obscur et d’antisémitisme.En avril 2021, une enquête de NPR comprenait des accusations d’intimidation et de harcèlement sexuel contre Hassan Shably, alors chef de la section de Floride du CAIR, qui a nié toute faute.Soroya était l’une des étoiles montantes de l’organisation, occupant le poste de présidente de sa section du Minnesota de 2007 à 2016, date à laquelle elle a rejoint le bureau national. Elle réclame au moins 75 000 $ de dommages et intérêts et demande au CAIR de retirer le communiqué de presse l’accusant de harcèlement et de le retirer de tout espace public.Lorsqu’il a été contacté par DailyMail.com pour commentaires jeudi, le CAIR nous a dirigé vers le même communiqué de presse de 2022, affirmant que Soroya est une employée mécontente et l’accusant de travailler avec des extrémistes anti-musulmans pour faire tomber le CAIR. Partagez ou commentez cet article : Le groupe musulman CAIR abandonné par la Maison Blanche suite au massacre du 7 octobre fait face à un SCANDALE SEXUEL après qu’une ancienne dirigeante a déclaré que les patrons masculins étaient des nuisibles sexuels

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