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Cette décision intervient après une rencontre entre la ministre japonaise des Affaires étrangères Yoko Kamikawa et le chef de l’UNRWA Philippe Lazzarini.
Le Japon envisage de reprendre son financement à l’agence d’aide des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens après avoir suspendu son aide suite aux affirmations israéliennes selon lesquelles certains de ses employés auraient participé aux attaques du Hamas du 7 octobre.
La ministre japonaise des Affaires étrangères, Yoko Kamikawa, a rencontré jeudi à Tokyo le chef de l’UNRWA, Philippe Lazzarini, pour discuter des moyens par lesquels l’agence pourrait améliorer sa transparence et sa gouvernance, notamment en garantissant la traçabilité des fonds et la neutralité du personnel.
« Le Japon et l’UNRWA ont confirmé qu’ils avanceraient dans la coordination finale sur les efforts nécessaires pour reprendre la contribution du Japon », a déclaré le ministère japonais des Affaires étrangères dans un communiqué.
La décision de Tokyo fait suite à la levée de pauses de financement similaires par la Commission européenne, le Canada, l’Australie, la Suède et la Finlande ces dernières semaines.
Lazzarini a déclaré mardi à l’agence de presse suisse Keystone-ATS que l’UNRWA avait obtenu un financement jusqu’à la fin mai après avoir prévenu que l’agence pourrait être contrainte d’arrêter ses opérations en mars.
Plus d’une douzaine de pays ont suspendu le financement de l’UNRWA en janvier après que les autorités israéliennes ont affirmé que 12 de ses employés étaient impliqués dans les attaques du Hamas contre le sud d’Israël.
Les autorités israéliennes ont ensuite affirmé que plus de 450 employés de l’UNRWA étaient des « membres de groupes terroristes à Gaza ».
L’ONU, qui enquête sur ces allégations, a déclaré qu’Israël ne lui avait fourni aucune preuve pour étayer ces allégations.
Fondé en 1949, l’UNRWA fournit de la nourriture, des soins de santé et une éducation à quelque 5,9 millions de réfugiés palestiniens.
L’agence s’est engagée à financer un financement d’une valeur de 1,2 milliard de dollars en 2022, les plus grosses contributions provenant des États-Unis, de l’Allemagne et de l’Union européenne.