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Pour parvenir à un pays plus juste, le gouvernement devrait faire davantage pour mettre fin aux « injustices fiscales » et ouvrir la voie à une « démocratie économique en termes de recettes publiques », a déclaré Yolanda Díaz, ministre espagnole du Travail et leader du partenaire de coalition Sumar, à EFE, partenaire d’Euractiv. une interview exclusive.
Dans le cadre des négociations en cours entre Sumar et le PSOE pour approuver le budget 2024, Díaz, qui est également vice-Premier ministre et l’un des cinq ministres Sumar du gouvernement, a exhorté ses collègues socialistes du PSOE du Premier ministre Pedro Sánchez à mettre en œuvre certaines réformes clés. pour parvenir à une plus grande équité fiscale, a rapporté l’EFE.
Parmi eux, Díaz a cité l’abolition de l’exonération de TVA pour l’enseignement privé, les soins de santé ou les produits de luxe et l’application du même taux de TVA à ces produits qu’aux autres biens de consommation courante.
Une autre demande de Díaz à son partenaire au sein du gouvernement est que les revenus du capital soient soumis à des taux d’impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPF) plus élevés que les revenus du travail.
« Nous souhaitons également que soient modifiés les facteurs clés d’une taxe régressive et injuste, comme la TVA (…). Nous finançons en quelque sorte la fréquentation des écoles publiques, je ne parle pas de l’école « concertée » (une formule mixte public-privé). Pourquoi les soins de santé privés en Espagne sont-ils imposés à 0 % ? Est-ce juste? » dit Diaz.
Dans le même temps, le leader de Sumar a également souligné que dans le contexte d’urgence climatique mondiale actuelle, cela n’a aucun sens d’exonérer les billets d’avion internationaux de la TVA.
Selon la ministre, toutes ces circonstances (fiscales négatives) signifient qu’il existe une répartition injuste des richesses en Espagne et que la société espagnole est très inégalitaire, avec un « salaire médian de 1 545 euros bruts par mois », a-t-elle ajouté.
Díaz a également admis que son parti et le PSOE de Sanchez étaient en désaccord sur plusieurs questions fiscales, comme celle de savoir si la taxe temporaire actuelle sur les banques devait devenir permanente, une idée soutenue par Sumar mais pas par les socialistes.
(Matilde Martínez | EFE)