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Le principal parti d’opposition de droite espagnol, le Partido Popular, a déclaré qu’il envisagerait d’accorder une grâce à l’ancien président catalan et leader séparatiste Carles Puigdemont s’il acceptait d’être jugé, purgeait sa peine, renonçait à convoquer un référendum d’autodétermination et abandonnait son projet de déclarer « l’indépendance » de la région.
Le chef du parti, Alberto Nuñez Feijóoa déclaré qu’une grâce pourrait être envisagée, lors d’un discours prononcé lors d’un rassemblement avant les élections régionales en Galice, qui auront lieu le 18 février.
Comme l’explique Feijóo, les « conditions minimales pour que (le PP ne s’oppose pas) à l’amnistie (loi), aux grâces (pour les dirigeants séparatistes) ou à toute autre question » sont qu’il n’y ait pas d’impunité et que le mouvement séparatiste catalan renonce à l’action unilatérale de la région. déclaration d’indépendance, le référendum illégitime (de 2017) et « le vol des principes fondamentaux qui régissent l’État de droit ».
Mais la stabilité du gouvernement espagnol dirigé par le Premier ministre Pedro Sánchez (PSOE/S&D), qui gouverne aux côtés de la plateforme de gauche Sumar, repose sur le JxCat de Puigdemont, les socialistes de Sánchez ayant signé un pacte pour la législature de quatre ans, comprenant le l’approbation du budget national, élément clé pour la mise en œuvre des politiques sociales de l’exécutif progressiste.
Ces dernières semaines, cependant, les relations entre le PSOE et JxCat se sont détériorées suite aux exigences du parti de Puigdemont et de son rival séparatiste de gauche, la Gauche républicaine de Catalogne (ERC), selon lesquelles la future loi d’amnistie controversée devrait fournir une couverture juridique maximale aux responsables. pour des actions séparatistes entre 2012 et 2023, y compris d’hypothétiques délits de « terrorisme », un concept vague actuellement controversé entre le gouvernement et l’opposition.
Un secret » quiproquo entre Puigdemont et Feijóo
Le PP et le parti d’extrême droite VOX, troisième force parlementaire, considèrent comme inconstitutionnelle la future loi d’amnistie, actuellement débattue au Parlement.
Outre les manifestations de masse, parfois violentes, qui ont eu lieu depuis septembre dernier pour rejeter le délai de grâce, le PP et Vox envisagent de faire appel devant la Cour constitutionnelle, la Cour suprême et même la Cour de justice de l’Union européenne. une décision préjudicielle contre la loi.
Le PP a remporté les élections législatives anticipées du 23 juillet, bien qu’il n’ait pas obtenu la majorité nécessaire pour gouverner, après quoi Sánchez, dont le parti est arrivé deuxième aux élections, a profité de sa chance pour former un gouvernement pour lequel il a négocié avec les forces séparatistes catalanes. et ERC (actuellement au gouvernement régional), ainsi qu’avec les partis basques indépendantistes PNV et EH-Bildu.
(Fernando Heller | EuroEFE.Euractiv.es)