Customize this title in frenchLe pape, en Hongrie, met en garde contre la montée du nationalisme en Europe et lance un appel aux migrants

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words

Le pape François, qui entame un voyage en Hongrie, a mis en garde vendredi 28 avril contre les dangers de la montée du nationalisme en Europe et a déclaré au gouvernement de Budapest qu’accepter des migrants avec le reste du continent serait un véritable signe de christianisme.

Dans un discours percutant aux chefs de gouvernement, dont le Premier ministre Viktor Orbán, qui a eu une série de démêlés avec l’Union européenne, François a également appelé au rejet des « formes autoréférentielles de populisme » et des intérêts strictement nationalistes.

Il a appelé à un retour à « l’esprit européen » envisagé par les fondateurs de l’Europe moderne après la Seconde Guerre mondiale, affirmant que les nations devaient « regarder au-delà des frontières nationales ».

S’exprimant le jour où la Russie a frappé l’Ukraine avec les premières frappes aériennes à grande échelle en près de deux mois, François a lancé un autre appel à la fin de la guerre là-bas, appelant à des « efforts créatifs pour la paix » pour noyer ceux qu’il appelait « les solistes de guerre ».

La visite de trois jours est son premier voyage depuis qu’il a été admis à l’hôpital pour une bronchite en mars.

L’air joyeux, Francis, qui souffre d’une maladie du genou, a utilisé une canne pour marcher en accueillant des dignitaires et des enfants en costume national à l’aéroport. Lors des arrivées récentes, il utilisait un fauteuil roulant.

Interrogé par des journalistes sur son état de santé pendant le vol de Rome, le pape a plaisanté en disant « je suis toujours en vie » et « les mauvaises herbes tenaces ne meurent jamais ».

Il marchait aussi avec une canne pour saluer individuellement les journalistes dans leur section de l’avion alors que lors de certains voyages récents il restait assis et les journalistes allaient vers lui.

François tient sa promesse d’une visite officielle en Hongrie après un arrêt de seulement sept heures pour clore un congrès de l’Église à Budapest en 2021 alors qu’il se rendait en Slovaquie, beaucoup se sont sentis méprisés.

Orbán, 59 ans, et le pape ont des points de vue divergents sur la gestion des migrations du Moyen-Orient et d’Afrique vers l’Europe, François estimant que les migrants fuyant la pauvreté devraient être les bienvenus.

Orbán, dont le gouvernement a construit une clôture en acier à la frontière avec la Serbie pour empêcher les migrants d’entrer, a refusé de laisser la Hongrie se transformer en un « pays d’immigrants » comme il dit que d’autres en Europe le sont devenus.

Il a demandé à François en 2021, lors de la dernière visite du pape, « de ne pas laisser périr la Hongrie chrétienne ».

Dans son discours au palais présidentiel surplombant le Danube, François a cité saint Étienne, le fondateur de la Hongrie chrétienne au XIe siècle.

« Ceux qui se professent chrétiens, en compagnie des témoins de la foi, sont appelés à témoigner et à s’unir à tous pour cultiver un humanisme inspiré par l’Évangile et empruntant deux voies fondamentales : se reconnaître enfants bien-aimés de le Père et s’aimer comme des frères et des sœurs », a déclaré François.

« A cet égard, saint Étienne a légué à son fils des paroles extraordinaires de fraternité lorsqu’il lui a dit que ceux qui arrivent avec des langues et des coutumes différentes » ornent le pays «  », a déclaré François, citant le commandement du saint d' »accueillir les étrangers avec bienveillance et pour les tenir en estime ».

Plus sur le même sujet…



Source link -57