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Le Parlement européen va remplacer l’enregistrement manuel de la présence des députés par un système basé sur la numérisation de leurs badges et, sur une base volontaire, de leurs empreintes digitales, selon un document relatif à une réunion du bureau de lundi 5 février, consulté par Euractiv.
Le bureau est un organe interne du Parlement européen chargé des questions administratives.
Le système actuel envisage que les députés s’inscrivent en se connectant manuellement avant d’accéder aux séances plénières, aux commissions ou aux réunions de groupe, afin de bénéficier d’une indemnité journalière non imposable de 338 €.
L’indemnité est versée aux députés européens en plus de leur salaire annuel de 120 000 € pour couvrir les frais de logement et connexes.
Le bureau, composé des 14 vice-présidents, des questeurs et du président du Parlement européen, a alors décidé d’automatiser partiellement l’attestation de présence par badge et d’introduire un système de numérisation d’empreintes digitales sur une base volontaire.
La question a déjà été discutée par l’organe administratif du Parlement lors de réunions précédentes, notamment en octobre dernier, lorsque les membres du bureau ont discuté des défis liés à la proposition, comme la gestion des données personnelles sensibles telles que les empreintes digitales et le respect des recommandations du Contrôleur européen de la protection des données (CEPD). .
Parmi ses recommandations, le Le CEPD, qui est chargé de veiller à ce que les institutions européennes respectent le droit à la vie privée et à la protection des données lorsqu’elles traitent des données à caractère personnel, a suggéré le système de stockage de données « un à plusieurs », qui permet de modifier et d’annuler les modèles biométriques afin de réduire les risques d’accès non autorisé aux données biométriques.
Le CEPD a également souligné l’intérêt d’utiliser un « système individuel » dans lequel aucune donnée biométrique ne serait stockée dans la base de données locale des lecteurs d’empreintes digitales.
Avant octobre, le Parlement européen avait consulté son prestataire sur ce point mais l’entreprise a indiqué que l’utilisation de modèles renouvelables et annulables affecterait les performances biométriques et n’était pas supportée par leur système.
Dans la décision finale, il a alors été établi que l’enregistrement des empreintes digitales aurait lieu à condition que le caractère volontaire soit garanti, que la procédure soit conforme aux avis émis par le CEPD et que la décision soit révisée après deux ans.
[Edited by Zoran Radosavljevic]