Customize this title in frenchLe pétrole chute après la hausse des stocks américains, les tensions au Moyen-Orient au centre de l’attention

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© Reuter. PHOTO DE DOSSIER : Un autocollant indique du pétrole brut sur le côté d’un réservoir de stockage dans le bassin permien à Mentone, comté de Loving, Texas, États-Unis, le 22 novembre 2019. Photo prise le 22 novembre 2019. REUTERS/Angus Mordant/File Photo

Par Jeslyn Lerh

SINGAPOUR (Reuters) – Les prix du pétrole ont chuté jeudi après une hausse des stocks et une hausse du cours du pétrole, cédant une partie du terrain gagné un jour plus tôt lorsque les prix ont bondi en raison des tensions au Moyen-Orient.

les contrats à terme ont baissé de 67 cents, ou 0,7%, à 89,46 dollars le baril à 06h30 GMT. Les contrats à terme sur le brut West Texas Intermediate américain ont baissé de 71 cents, ou 0,8%, à 84,68 $ le baril.

Les contrats pétroliers de référence s’étaient établis en hausse de près de 2 % mercredi, mais ont chuté après que le Wall Street Journal a rapporté qu’Israël avait accepté de retarder pour l’instant une invasion prévue de Gaza.

« Les mouvements des marchés pétroliers sont principalement liés à la guerre Hamas-Israël », a déclaré Tina Teng, analyste des marchés chez CMC.

Les investisseurs digéraient également une hausse des stocks de brut américain, signe d’une faible demande.

Les stocks américains de brut ont augmenté de 1,4 million de barils la semaine dernière pour atteindre 421,1 millions de barils, selon l’Energy Information Administration, dépassant le gain de 240 000 barils attendu par les analystes d’après un sondage Reuters.

« Les marchés restent volatils alors que le Moyen-Orient est agité, mais les fondamentaux sous-jacents sont saisonnièrement plus faibles que prévu, la demande de produits aux États-Unis étant étonnamment faible », ont déclaré jeudi les analystes de Citi.

Aux États-Unis, les volumes de brut des raffineries ont chuté de 207 000 barils par jour, tandis que les taux d’utilisation des raffineries ont également légèrement diminué de 0,5 point de pourcentage pour atteindre 85,6 % de la capacité totale, selon les données de l’EIA.

Les inquiétudes macroéconomiques ont continué de peser sur les perspectives de la demande pétrolière, alors que les données sur l’activité des entreprises de la zone euro ont enregistré une baisse surprise ce mois-ci.

L’indice du dollar a également légèrement augmenté jeudi, ce qui contribue à faire pression sur les prix du pétrole. Un dollar plus fort freine la demande de pétrole car il rend le produit plus cher pour ceux qui détiennent d’autres devises.

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