Customize this title in frenchLe pétrole s’assouplit en raison d’un éventuel cessez-le-feu à Gaza et de la force du dollar

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© Reuter. PHOTO DE DOSSIER : Une vue aérienne montre le champ pétrolier de Majnoon près de Bassorah, en Irak, le 12 mai 2023. REUTERS/Essam Al-Sudani/File Photo

Par Florence Tan et Laila Kearney

SINGAPOUR (Reuters) – Les prix du pétrole ont chuté vendredi en raison de la possibilité d’un cessez-le-feu proche à Gaza qui pourrait apaiser les inquiétudes géopolitiques au Moyen-Orient, tandis qu’un dollar plus fort et une demande d’essence chancelante aux États-Unis ont également pesé sur les prix.

les contrats à terme ont chuté de 42 cents, ou 0,5%, à 85,36 ​​dollars le baril à 02h03 GMT. les contrats à terme ont perdu 40 cents, ou 0,5%, à 80,67 $ le baril.

Les deux contrats devraient terminer la semaine sans changement après avoir augmenté de plus de 3% la semaine dernière.

Le pétrole s’échange à la baisse suite aux informations faisant état d’un projet de résolution de l’ONU appelant à un cessez-le-feu à Gaza et alors qu’une nouvelle série de prises de bénéfices a commencé, a déclaré l’analyste d’IG Tony Sycamore dans une note.

Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a déclaré jeudi qu’il pensait que les négociations au Qatar pourraient aboutir à un accord de cessez-le-feu à Gaza entre Israël et le Hamas, atténuant ainsi les risques géopolitiques dans la région.

Blinken a rencontré les ministres arabes des Affaires étrangères et le président égyptien Abdel Fattah El-Sisi au Caire alors que les négociateurs au Qatar se concentraient sur une trêve d’environ six semaines.

Aux États-Unis, le premier consommateur mondial de pétrole, l’essence fournie, indicateur de la demande, est tombé en dessous de 9 millions de barils pour la première fois en trois semaines, indiquant un possible ralentissement de la demande de brut.

Mais le cabinet de conseil FGE a déclaré que les données hebdomadaires préliminaires pour la première quinzaine de mars, qui montraient que les stocks terrestres de brut et des principaux produits des principaux pôles pétroliers du monde avaient chuté de près de 12 millions de barils, par rapport à la moyenne de 6 millions de barils entre 2015 et 2019, pourraient être haussier pour le pétrole.

Dans le même temps, le dollar américain, qui s’échange à l’inverse des prix du pétrole, s’est renforcé après que la baisse surprise des taux d’intérêt de la Banque nationale suisse ait renforcé le sentiment de risque à l’échelle mondiale.

Un dollar plus fort rend le pétrole plus cher pour les investisseurs détenant d’autres devises, freinant ainsi la demande.

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