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Les pâturages ont été inclus dans la catégorie des terres agricoles éligibles au reboisement grâce aux fonds du plan de relance, selon un décret d’urgence publié jeudi par le gouvernement roumain, qui « rectifie » la suppression antérieure par le Parlement des pâturages comme catégorie éligible.
Cela fait suite à une décision parlementaire antérieure qui avait supprimé les pâturages de la liste des catégories éligibles au reboisement dans le cadre du plan de relance (PNRR).
« Nous avons réparé cette injustice. Environ 2 300 hectares de pâturages, qui attendaient cette modification législative, pourront désormais être reboisés une fois que l’ordonnance d’urgence sera publiée au Journal officiel », a déclaré le ministre de l’Environnement, Mircea Fechet.
Fechet a souligné les avantages de la conversion des terres arables, des zones dégradées et d’autres types de terres en forêts.
Les personnes physiques et morales ainsi que les unités administratives-territoriales peuvent participer à cette initiative et utiliser les fonds alloués dans le PNRR.
« Nous finançons jusqu’à 7 600 € par hectare pour la plantation proprement dite, 1 700 € par hectare pour le projet technique, et couvrons les six premières années d’entretien de ces cultures, jusqu’à un montant maximum de 15 000 € », explique Fechet.
Fechet a également déclaré que les autorités paieraient « la prime aux certificats verts », s’élevant à 456 € pour chaque hectare de forêt nouvellement établie, pendant 20 ans.
La Roumanie compte environ sept millions d’hectares de forêts, couvrant 29 % de la superficie du pays, ce qui est nettement inférieur à la moyenne européenne de plus de 40 %.
La question de l’exploitation forestière illégale en Roumanie a retenu l’attention au niveau européen.
Plus tôt cette année, une délégation de la commission des pétitions du Parlement européen (PETI) s’est rendue dans diverses régions de Roumanie touchées par la déforestation illégale.
Cela s’est produit après que la Commission européenne ait lancé une procédure d’infraction pour exploitation forestière illégale, pour laquelle la Commission avait jugé la réponse de Bucarest insatisfaisante.
(Cătălina Mihai | Euractiv.ro)