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Johannesbourg (AFP) – La plus haute cour d’Afrique du Sud a confirmé jeudi une décision antérieure selon laquelle l’ancien président Jacob Zuma devrait retourner en prison pour terminer sa peine de 15 mois pour outrage au tribunal, rejetant un appel visant à le maintenir hors de prison.
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Il n’était pas immédiatement clair si Zuma retournerait en prison, les autorités pénitentiaires ayant déclaré qu’elles étudiaient le jugement et demanderaient des conseils juridiques.
Zuma a été condamné en juin 2021 après avoir refusé de témoigner devant un panel enquêtant sur la sottise financière et le copinage sous sa présidence – mais a été libéré sur parole médicale deux mois seulement après le début de son mandat.
Il a commencé à purger sa peine début juillet.
Son emprisonnement a déclenché des émeutes qui se sont transformées en pillages et ont fait plus de 350 morts dans les pires violences qui aient frappé le pays depuis l’avènement de la démocratie en Afrique du Sud.
Le mois suivant, il a été admis à l’hôpital pour une affection non divulguée avant de se voir accorder une libération conditionnelle pour raisons médicales.
En novembre de l’année dernière, une cour d’appel a conclu que la libération avait été accordée illégalement et a ordonné à l’homme de 81 ans de retourner au centre correctionnel d’Estcourt dans la province orientale du KwaZulu-Natal.
Le service pénitentiaire sud-africain, qui avait accordé la libération conditionnelle de Zuma, a fait appel de la décision, mais l’offre a été rejetée par la Cour constitutionnelle.
Elle a jugé jeudi qu’elle n’avait « aucune perspective raisonnable de succès » et a condamné les services pénitentiaires et Zuma, un requérant intervenant, à payer les frais de justice.
Les services pénitentiaires ont déclaré en octobre de l’année dernière que Zuma avait officiellement mis fin à sa peine et avait été libéré de leur système.
Mais en novembre, la cour d’appel a qualifié le prononcé de « prématuré ».
Jeudi, les services pénitentiaires ont déclaré qu’ils « étudiaient l’arrêt de la Cour constitutionnelle pour la demande de révision relative au placement sur parole médicale de l’ancien président ».
Ils ont ajouté dans un communiqué qu’ils « recherchaient des conseils juridiques et commenteront davantage en temps voulu ».
Le porte-parole de Zuma, Mzwanele Manyi, a renvoyé les demandes de commentaires aux autorités pénitentiaires.
Le principal parti d’opposition d’Afrique du Sud, l’Alliance démocratique, a qualifié la dernière décision de « victoire de l’État de droit ».
« Zuma doit maintenant retourner en prison ! a écrit le parti sur Twitter.
© 2023 AFP