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Le gouvernement central espagnol dirigé par le Premier ministre Pedro Sánchez (PSOE/S&D) ne devrait pas « baisser le drapeau du dialogue » avec la Catalogne, a souligné le président de la région, Pere Aragonès, dans une interview exclusive avec EFE.
Selon le président de l’exécutif catalan, Sánchez ne devrait pas fermer la porte « pour des raisons électorales » pour approfondir le dialogue politique actuel qu’il a ouvert avec cette région espagnole prospère, a déclaré Aragonès.
« Nous sommes entièrement disponibles pour les réunions qui s’imposent et pour avancer dans la résolution du « conflit » (ce que les indépendantistes définissent comme un « conflit politique » avec Madrid) », Aragonès, leader de l’esquerra Republicana de Catalunya (indépendantiste) ( ERC, Gauche républicaine de Catalogne), ajouté.
Aragonès a analysé les perspectives d’avenir du processus de dialogue engagé avec le gouvernement central espagnol et a dévoilé quelques détails de sa proposition d’accord ambitieux avec Madrid.
En décembre 2022, l’exécutif de Sanchez a approuvé la réforme du Code pénal – une décision qui a grandement contribué à assouplir les relations tendues entre les précédents gouvernements espagnols du Partido Popular (PP/EPP) de centre-droit et la Generalitat.
Mais malgré l’amélioration des relations avec Madrid, le dialogue ne devrait pas s’arrêter en 2023, a déclaré Aragonès.
« Le dialogue ne devrait pas être soumis aux incitations tactiques des partis politiques », a-t-il suggéré.
« Le fait que les présidents (régionaux espagnols) puissent dialoguer, se rencontrer, parvenir à des accords et résoudre le ‘conflit’ ne doit pas être conditionné par des intérêts à court terme et électoraux », a souligné Aragonès.
« Si Pedro Sánchez, qui a fabriqué une bannière de dialogue et la main tendue, se cache, retire et hisse maintenant cette bannière de dialogue parce qu’il a des élections municipales et régionales, il doit expliquer pourquoi il ne veut pas dialoguer », a-t-il également averti. .
S’il a refusé de lier la continuité de son engagement à la voie du dialogue à la victoire de Sánchez et du PSOE aux prochaines élections législatives, Aragonès a admis que si la coalition changeait de couleur, « les conditions pour avancer dans le processus de négociation (Catalogne-Madrid) être plus difficile ».
L’Espagne organisera ses élections municipales le 28 mai, ce qui, selon beaucoup, sera le premier test décisif pour la coalition gouvernementale de Sanchez avec Unidas Podemos (GUE-NGL), une relation actuellement sous pression.
Après cela, les partis devront affronter les élections générales prévues pour décembre, et la querelle politique avec la Catalogne est l’une des « patates chaudes » dans l’arène politique ibérique.
(Fernando Heller | EuroEFE.EURACTIV.es)