Customize this title in frenchLe président polonais s’oppose au nouveau gouvernement dans une bataille médiatique d’État

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Les désaccords sur le financement s’avèrent être un casse-tête pour le Premier ministre nouvellement élu Donald Tusk.

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La bataille politique en Pologne concernant les médias d’État se poursuit alors que le nouveau gouvernement pro-européen les a mis en état de liquidation, après que le président ait bloqué leur financement.

Le Premier ministre nouvellement élu Donald Tusk cherche à libérer les médias du contrôle politique du Droit et Justice (PiS), au pouvoir pendant huit ans jusqu’au 13 décembre.

Le président Andrzej Duda, allié des précédents dirigeants conservateurs, a opposé son veto au projet de loi du nouveau gouvernement qui aurait prévu 3 milliards de zlotys (environ 693 millions d’euros) pour le service public des médias.

Au lieu de cela, Duda a proposé un nouveau projet de loi qui supprime ce financement.

La liquidation donne à la télévision, à la radio et à l’agence de presse d’État ainsi qu’à leurs employés une meilleure protection contre le conflit politique, garantissant ainsi leurs emplois malgré le manque de financement et permettant une restructuration.

Le nouveau gouvernement a déclaré que le long processus de liquidation pouvait être révoqué si nécessaire.

Les médias publics polonais sont devenus le premier champ de bataille entre le gouvernement de coalition de Tusk, ancien haut responsable de l’UE, et le PiS, accusé depuis longtemps d’entraîner la Pologne vers l’autoritarisme.

Ses membres et alliés restent présents au siège de la télévision, de la radio et des agences de presse d’État.

Duda reste au pouvoir pendant encore un an et demi, et son veto est un signe précoce des difficultés auxquelles Tusk sera probablement confronté.

Certains observateurs affirment que le PiS souhaite conserver le contrôle des médias d’État et faire passer son message avant les élections locales et les élections du Parlement européen de l’année prochaine, dans l’espoir de reprendre un peu de pouvoir.

Tusk a déclaré que son cabinet présenterait un nouveau projet de loi qui prendrait en considération les opinions de Duda et transférerait le financement en question des médias d’État vers les soins de santé pour enfants.

Il a également déclaré qu’il faudrait du temps pour dénouer l’emprise de l’ancien parti au pouvoir sur les médias d’État.

« Nous sommes sûrs que nos actions sont conformes à la loi », a insisté Tusk devant une conférence de presse.

Tusk a accédé au pouvoir grâce à ses promesses de restaurer l’unité nationale et les normes démocratiques, notamment par la réforme des médias publics. Son gouvernement détient 248 sièges à la chambre basse, ou Sejm, qui compte 460 membres.

En Pologne, les médias publics sont financés par les contribuables et la constitution exige qu’ils soient exempts de tout parti pris politique.

Cependant, les critiques ont accusé Droit et Justice d’utiliser les médias comme porte-parole de propagande qui a divisé la nation en diffusant de la désinformation, des contenus xénophobes et homophobes, tout en cherchant à discréditer Tusk et d’autres politiciens pro-européens.

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