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Les avocats de l’agent principal Kristian White se trouvaient mercredi devant le tribunal local de Cooma, lorsque les procureurs ont confirmé qu’un dossier de preuves avait été fourni à la défense.
White, 33 ans, n’était pas présent au tribunal, après avoir été préalablement dispensé de comparaître par le magistrat Roger Clisdell jusqu’à son audience de détention.
White est accusé d’avoir causé par imprudence des lésions corporelles graves, de voies de fait ayant entraîné des lésions corporelles réelles et de voies de fait simples liées à un événement survenu dans une maison de retraite de Cooma le 17 mai.
White est accusé d’avoir tasé son arrière-grand-mère Clare Nowland après que le personnel, les ambulanciers paramédicaux et la police lui aient demandé à plusieurs reprises de laisser tomber un couteau dentelé.
Un exposé des faits de la police de Nouvelle-Galles du Sud, précédemment présenté au tribunal, allègue que White a averti Mme Nowland de laisser tomber le couteau avant de dire « arrêtez juste… c’est foutu » et de déployer son Taser.
Les procureurs ont allégué que les actions de White constituaient « une réponse largement disproportionnée et un recours excessif à la force à la menace posée », compte tenu de l’âge et de l’infirmité de Mme Nowland.
Mercredi, devant le tribunal, l’avocat de White a demandé un ajournement de huit semaines pour une certification des accusations, qui montrera toutes les accusations que le directeur des poursuites pénales de Nouvelle-Galles du Sud a l’intention de porter en justice.
White, qui est suspendu sans solde des forces de police, n’a pas encore plaidé.
L’affaire reviendra au tribunal local de Cooma le 6 décembre.